Au service (pas st secret) de Madame (3)
Datte: 30/01/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... fondement. Que c’est bon, merveilleux. Je n’avais jamais connu pareil bonheur et tout ce que cela procure. Il se retire, Madame montre ce pénis énorme. Ma bouche s’empare de ce phallus, malgré son gout, son odeur, je lèche, suce. Je n’ai nulle besoin de me forcer, j’aime ce gout fort et musqué. Je me sens une autre, prête à me soumettre davantage encore. Madame et son amie sont sur le canapé, elles se gouinent, c’est beau. Libre de mes mouvements, le sexe de l’homme propre, tendu, je le guide en mon sexe. Il refuse, attendant un ordre. Je regarde Madame et son invitée, leur fais mon regard de cocker. Elles le remarquent, hésitent, s’embrassent, nous fixent. Je tiens ce monstre à l’orée de mon sexe baveux. L’amie de Madame accepte. Je guide le monstre en moi. L’homme est doux, lent, prévenant. Sa bouche sur mes seins, un délice. J’enserre sa tête sur ma poitrine, sentant sa bite s’enfoncer en moi toujours plus loin, là où aucun homme n’avait pu encore aller. J’attire la bouche de l’homme sur la mienne, lui chuchote de me faire jouir plusieurs fois s’il veut pouvoir me baiser une autre fois. Il me sourit. — Je dois te faire mourir de bonheur. Mademoiselle me l’a ordonné. Je ne réponds que par un long et tendre baiser. Mourir de plaisir, en voilà un merveilleux supplice. J’entends Madame qui jouit de son amie. Si mon amant continue de la sorte, je vais suivre le même chemin. Il change encore de rythme, accélère, il butte au fond de moi avec sa queue si grosse. Il est excellente ...
... amant, bien dressé, bien éduqué. Si j’étais à la place de sa maitresse, je voudrais qu’il me baise jour et nuit. C’est imminent, je perds tout contrôle de mon corps. Je serre mes jambes à la taille de cet homme. Je jouis, oui, je jouis et c’est tellement bon, si violent. Il s’acharne en moi, je jouis sans fin. Nos Maîtresses sont prêts de nous, nous caressent, baisent nos corps. Madame a sa bouche entre les fesses du soumis. L’amie de Madame malaxe mes seins. Je vais encore jouir, c’est incroyable, impossible que je puisse jouir de la sorte. Par trois fois, il me fait jouir. Soudain, je sens sa bite prise de spasme, il jouit en moi, m’emmenant dans son orgasme, je jouis encore avec lui. Il s’écroule sur moi, je baise son visage de toute part. Je bénis cet esclave de mes baisers les plus suaves. Jamais homme n’y était parvenu. Je suis heureuse, sans force, mais heureuse. Madame avait raison. Quand la bouche de l’amie de Madame se retire de ma bouche, j’attire celle de mon amant. Il me soulève sans se retirer de mon corps. Je sens sa queue durcir à nouveau. Ses mains sous mes fesses, il me soulève tel un fétu de paille. Sur mon cul encore dilaté, un gode me pénètre, aussi gros et long que le sexe de mon amant. Je hurle encore, mais non de douleur, c’est un orgasme qui s’empare encore de moi. Il est violent, merveilleusement violent. — Madame, faites de moi ce que vous voulez, votre négresse est prête à mourir de plaisir pour vous si tel était votre désir. — Tu vois, ma chère, ...