1. Ma tante de 45 ans reste sublime (1)


    Datte: 30/01/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... glisser à nouveau mon sexe à ’l’intérieur de son palais. — Mais tu n’arrêtes jamais ma chérie ! Elle fit non d’un signe de la tête en dégustant ma verge amoureusement. lkolddju Puis elle se mît debout tout en remettant mon jogging en place. Dans la foulée, je soulevai son tee-shirt pour apercevoir ses seins enivrants sous la pureté d’un soleil d’hiver. Ses tétons autant durcis par le froid que par sa propre excitation furent immédiatement recouverts, j’eus peur que ma merveilleuse tante ne prenne froid. Nous arrivâmes dans la cuisine, ma mère terminant le repas pour midi. — A voir vos mines, il ne doit pas faire chaud ! Dit-elle sans se douter de ce que sa sœur venait de faire à son fils. — Oui Annie et nous allons prendre une douche pour nous réchauffer. — Prenez votre temps, Anne dort toujours. — Maman, il est près de 11 heures... — A son âge, tu dormais toute la matinée ! Chantal pouffa de rire et prit le chemin de notre chambre. Je restai avec ma mère, heureuse que je reste seul avec elle. — Ca en fait du chemin parcouru avec ta tante ou avec ma sœur ! — Bah oui et nous avons une fille de 18 ans, tu te rends compte. — Oui mais tu sais j’ai eu du mal à l’accepter, que tu couches avec une femme plus âgée, ça ne me regarde pas mais avec ma propre sœur... — Je comprends maman mais nous sommes heureux. — Oui c’est l’essentiel mais cela reste contre-nature pour une mère et je ne me suis aperçu de rien au départ. — Ecoute, ça faire un bon moment que nous sommes ensemble et ...
    ... personne n’est au courant. — Oui Jean. — Maintenant je suis content d’avoir cette conversation depuis le temps. — Si tu es heureux avec ma sœur... Ma mère essuya une larme, elle se retourna pour me cacher son émotion. Il est vrai que la pilule fut difficile à avaler, mais le désir de ma tante depuis mon adolescence devint pour moi comme une évidence, de pouvoir enfin coucher avec elle fut une sorte de consécration. Et à l’heure actuelle, je reste toujours béat devant Chantal, je poursuis cette sorte de rêve éveillé depuis près de 20 longues merveilleuses années. Nous parlâmes de l’avenir de ma fille, de ses études... Ma tante arriva, printanière, en jupe avec de jolis escarpins flattant ses jambes longilignes. Son chemisier bleu marine dissimula ses seins en forme de poire et je devinai sans mal une absence de soutien-gorge. Une envie soudaine de cueillette de fruits mûrs me vint à l’esprit. Ma tante se rendit compte de mon regard attentif et me fit un petit clin d’œil en tirant sur son chemisier. — Chantal, tu vas attraper froid et en plus tu n’as pas mis de bas ! S’exclama ma mère. — Si j’ai froid je mettrai un pantalon ! — Et peut-être un gilet...Dis-je en observant ma belle Tatie. — Mais pourquoi ? Répondit ma mère. Chantal fut pris d’un énorme fou-rire avec la question de sa sœur. Je ne mouftai pas mais nous échangeâmes un regard complice. Anne arriva enfin en baillant et en traînant les pieds. — Bonjour ! — Ne mange pas trop, nous déjeunons à 13 heures. Lui dit sa ...
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