Les Collants en Fibre d'Italie
Datte: 31/01/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... avant de s'intéresser à mon ventre, mon pubis et enfin ma fente qu'il trouva déjà moite sous ma culotte. Tout en m'embrassant à pleine bouche il me masturba doucement. Bien vite mon vagin fut inondé de cyprine et Eric monta sur mon ventre. Je sentis sa bite dure contre ma peau et mon pouls s'accéléra. Il repoussait un peu ma fine culotte comme il avait l'habitude de procéder, je le laissais faire, il se tortillait sur moi et son activité était un vrai bonheur érotique. Sa verge se glissa entre mes cuisses et je la sentis presser délicieusement ma fente découverte. Eric releva la tête et il me regarda. Il était grave, nos regards se croisèrent et je vis dans le sien tout le désir que je lui inspirais. Nos regards toujours rivés l'un à l'autre, je sentis ses reins pousser et mes lèvres intimes céder petit à petit. Quand son gland franchit la porte de mon ventre, je poussais un léger râle, je sentis mon corps se tendre et s'offrir, mes cuisses s'ouvrir un peu plus, mon bassin se positionner pour mieux recevoir le sexe qui déjà plongeait dans mon vagin. Je frissonnais, Eric donna un coup de rein en même temps qu'il poussa un « han! » propulsant son membre au fond de mon ventre. Je sentais son gland repousser mon utérus. Il me prit ferment les épaules et il commença à besogner mon vagin qui n'en pouvait plus de baver sa cyprine. La bite de mon fils allait librement dans le canal qui l'avait vu naitre. J'entendais distinctement le clapotis de nos mouilles mêlées à chaque fois que ...
... Eric pistonnais mon ventre. Je me laissais faire en fermant les yeux, la sensation m'était délicieuse et je ne pouvais rêver d'un amant plus aimant ni plus actif. Eric donnait tout ce qu'il pouvait pour m'entendre enfin gémir sous lui. Mes gémissements se transformaient en plaintes, en appels plutôt, je le voulais en moi, tout à moi, rien qu'à moi et je voulais son sperme. Je le lui dis à l'oreille comme d'habitude. Eric se déchaina alors, l'amant attentionné fit place à une bête furieuse que rien ni personne ne n'aurait su détourner de son but. J'aimais quand il se déchainait ainsi. Je devenais sa chose, sa femelle et bien plus encore, le ventre où il allait décharger sa semence. Je le sentis prêt à l'éjaculation, son corps frémissait comme un cheval que l'on aiguillonne, ses bras puissants m'écrasaient contre lui en une possession animale. Sa bite eut un sursaut et je sentis le flot de sperme érupter par vagues et son gland palpitait en crachant la liqueur blanche qui inondait mon vagin, noyait mon utérus et dégoulinait entre mes cuisses. Dans un dernier cri primal, Eric poussa en moi une verge gorgée du sang qui battait dans ses tempes à un rythme fou. Ecrasé contre mes seins, je percevais les coups sourds de son cœur jusque dans ma poitrine. Il s'effondra sur moi, épuisé et heureux. J'étais moi aussi heureuse d'avoir procuré autant de plaisir à un être que j'aimais par dessus tout. Je l'enlaçais de mes bras et je berçais nos corps qui cherchaient le repos. Un peu plus tard ...