Les Collants en Fibre d'Italie
Datte: 31/01/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... compagnie pour meubler ma solitude. Et puis encore un peu plus tard quand il s'éveillait à la sensualité et qu'il lui prit l'envie d'expérimenter avec sa propre mère. Je ne l'avais pas repoussé avec assez de fermeté, et profitant de ma faiblesse, il s'était engouffré dans la brèche pour me demander à chaque fois davantage, alors que j'étais de plus en plus faible pour lui tenir tête. Aujourd'hui Eric était mon amant, je ne peux pas dire les choses autrement. Il lui en coutait quand son père était présent à la maison. Je le voyais bien à sa mine renfrognée quand il allait se coucher seul dans sa chambre. Il avait parfois poussé l'audace de venir dans mon lit alors que son père ronflait à mes cotés. Sans un bruit, à pas de loup, je sentais tout à coup le drap tiré et puis son corps chaud se glissait contre moi. Il était habile à la manœuvre, sans bruit, sans faire grincer le lit, le voila qui me tenait serrée contre lui et je percevais son érection à travers le léger vêtement de nuit que je portais. Il me troussait sans attendre et son sexe trouvait vite la voie de mon sexe. Je retenais un gémissement, tout juste un soupir quand je sentais mes chairs forcées par son gland qui connaissait que trop bien le chemin. J'avais son souffle brûlant sur mon épaule alors que sa bite poussait son avantage dans mon ventre et qu'il me retenait fermement contre lui. Vous avouerais-je que j'ai aimé ce genre d'instant? La soudaineté de l'attaque, la vigueur qu'il mettait à me prendre, et ...
... surtout le danger de voir se réveiller son père allongé la, juste près de nous. Je dois dire que la première fois je suis restée la, dans l'impossibilité de protester au risque de réveiller Georges, mais aussi fascinée par l'audace d'Eric qui me besognait le vagin. J'avais le regard sur la nuque de mon mari, retenant mon souffle dans la pénombre, guettant le moindre de ses mouvements alors que mon fils me ramonait la chatte pour mon plus grand plaisir. Je m'appliquais à ne pas bouger, Eric le faisait très bien, il m'avait juste écartée ce qu'il fallait pour qu'il puisse introduire son membre et me pistonnait par derrière, me retenant par la hanche ou par les seins. La première fois il se laissa aller très vite, se répandant dans mon ventre et sortant tout aussi vite pour regagner sa chambre. Mais par la suite il prit plus d'assurance, s'étant rendu compte du sommeil sans fond où son père était plongé. Il prit plus de temps, il me câlina d'avantage, prenant même la liberté de me basculer sur le dos et de venir sur moi, jusqu'à toucher son père alors qu'il me prenait sauvagement dans la couche conjugale. J'ai eu très peur que l'irrémédiable ne se produise, mais Eric du haut de son audace me faisait savoir que nous ne risquions rien. Il affectait un petit sourire ironique lorsqu'il se retirait enfin pour aller dans son lit. Je pensais à tout cela alors que Eric me faisait l'amour le premier soir où nous fûmes seuls à la maison. Il se déchainait sur moi, me plantant son sexe au fond du ...