1. Les Collants en Fibre d'Italie


    Datte: 31/01/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... l'ancienne. Ce train de nuit était en fait L'orient express qui desservait Venise et il avait gardé le charme d'entant. Le compartiment comportait quatre couchettes, mes deux compagnons me laissèrent le choix de la mienne. Je choisis une couchette inférieure et ils s'installèrent à leur tour. Nous nous demandions si la dernière couchette serait occupée. Finalement comme nous avions fait connaissance, nous formions un petit groupe et n'avions pas envie que le cercle ainsi formé soit rompu par une arrivée intempestive. Quand le train se mit à rouler, la dernière couchette était toujours libre et je vis un soulagement dans le sourire qu'ils me firent avec un bel ensemble. Je baissais les yeux pour cacher ma propre satisfaction, finalement, je préférais aussi que nous restions entre nous dans une sorte d'intimité de circonstance. Le train avait pris de la vitesse et le paysage défilait par la fenêtre. Nous discutions tous les trois de nos métiers, ils me posèrent des questions sur les Galeries, sur mon rayon lingerie sur ce que je vendais le plus, sur la clientèle, sur les hommes qui venaient acheter la lingerie de leur femme. Je leur dévoilais mes petits secrets de vente, la gène de certains hommes, comment je devais les mettre en confiance et comment ils me récompensaient de ma complicité. Je voyais leurs regards toujours allumés et intéressés par mes seins qui ballotaient au rythme du train. Je ne faisais rien pour les cacher, je m'amusais de leur trouble et de leur ...
    ... concupiscence. Ils me firent des compliments plus familiers quand ils me demandèrent si les hommes achetaient les soutiens gorge de leur femme. Ils furent surpris de savoir que cela était plus courant qu'on ne le pense, surtout aux alentours de la saint Valentin. Ils me demandèrent si c'était mon mari qui m'avait offert ce beau soutien gorge dont-ils devinaient la dentelle sous la soie. Je riais en leur répondant que non, je l'avais choisis moi-même. Ils me complimentèrent pour mon goût, voulurent savoir si toute ma lingerie était aussi affriolante et comme je répondais par l'affirmative, ils me complimentèrent pour mes choix. J'étais assise sur ma couchette et le plus vieux vint s'assoir près de moi. Souriant, il passa son bras autour de mes épaules. Je laissais faire, échauffée par le vin, par la conversation. Je sentis sa main me caresser et descendre doucement jusqu'à ma poitrine, ses doigts courir sur la soie légère, effleurer ma peau. Je frissonnais, je n'avais pas le courage de le repousser, il s'enhardit, empaumant mon sein droit pour le masser doucement. De longs frissons se mirent à courir dans mon échine et mon souffle devint plus saccadé. Ils avaient bien su me chauffer et maintenant dans cet espace réduit, dans les bois vernis et chauds j'étais prête à leur offrir ce qu'ils allaient me demander sans tarder. Son compagnon nous avait rejoint, et lui aussi me pelotait sans trop de gène. Je sentis des doigts défaire mon corsage pendant qu'on m'attirait et prenait ma bouche que ...
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