1. Les Collants en Fibre d'Italie


    Datte: 31/01/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... tête. Apparemment, son grand fantasme était que je boive son sperme jusqu'à la dernière goutte, il ne me lâchait que longtemps après qu'il eut entendu mon dernier mouvement de gorge. Je prenais gout à ces rencontres, moi-même je m'abstenais avant chaque voyage, ne laissant pas mon mari me toucher, ne lui accordant pas la pipe qu'il aimait pourtant de temps en temps. Mais le plus réticent était Eric, il me rejoignait au lit souvent quand son père était au loin pour négocier des contrats, mais lui non plus n'avait pas toujours droit de se faire sucer. Il me prenait, me chevauchait, réclamait ma bouche mais je lui offrais mon sexe en compensation où il ne se privait pas de se lâcher. Il m'est arrivé plus d'une fois de prendre l'avion pour Milan avec encore le sperme d'Eric dans le vagin, je le gardais comme un trophée en moi bien au chaud. Je crois bien que Luigi a pu s'en rendre compte parfois. Au fil du temps, Luigi m'a fait connaitre son entourage, son vieux copain le gynécologue avec qui il avait une grande complicité. Ensemble ils partageaient leur gout pour les femmes, l'un les connaissaient à travers son travail en usine, sachant les approcher pour qu'elles lui servent de mannequin. L'autre les connaissait plus intimement quand il les recevait en consultation. Il connaissait tout d'elles, elles lui faisaient leurs confidences les plus intimes, sur leur vie sexuelle, leurs rapports avec le mari, les amants, rien n'échappait à ses investigations tant il savait éveiller ...
    ... leur confiance, prêtant une oreille attentive à tout ce qu'elle pouvait déballer de turpitude quand elles avaient les cuisses ouvertes dans les gouttières de sa table d'examen. Luigi m'avait mise au courant de cette complicité, les deux compères ne se cachaient rien. Ce qui pouvait être utile à l'un, servait à l'autre et la vie de ces femmes, leur vie intime était connue des deux. Bien sur Luigi a insisté pour que je connaisse son vieux pote. J'ai vite fléchi tant j'étais curieuse de connaitre ce vieux satyre après ce que Luigi m'avait dévoilé de lui. Je ne fus pas déçue, le docteur Marcello était une vraie figure, un homme portant beau, un sourire ravageur, des rides qui rassuraient et un aplomb à toute épreuve. Je comprenais mieux, la devant lui, comment les femmes pouvaient lui céder, lui révéler ce qu'elles avaient de plus intime à cacher. Il me questionna si bien sur les relations que j'entretenais avec Luigi, que je ne pus cacher longtemps ce qu'il savait déjà, que Luigi m'avait pas mal tripoté et même un peu plus. Marcello me demanda si cela me plaisait, la encore impossible de nier, on ne mentait pas à cet homme la, si rassurant derrière sa blouse blanche avec son visage si charmant, si viril mais aussi si compréhensif. Cet homme attirait la confidence de façon instinctive, on ne mentait pas au docteur Marcello, chaque femme le savait et redoutait qu'il put détecter un mensonge et leur en faire grief. Marcello m'a demandé de m'allonger sur sa table. J'avais juste ôté ma ...
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