1. CODEX PSI 233: Yikashata et Ariadnh


    Datte: 31/01/2021, Catégories: fh, asie, frousses, enceinte, Oral pénétratio, traduction, historiqu,

    ... ses pieds, révélant aux yeux de tous sa nudité sublime. S’adressant au Roi, elle lui dit alors ces paroles ailées : Écoute, Ô Roi parmi les Rois. Je suis Ariadnh, fille du divin Sijapuros – que son étoile brille à jamais –. Mon sceau de virginité qui jamais n’a été rompu l’atteste aux yeux de tous. Je suis la dernière de ma lignée, car moi seule ai pu échapper au maudit […] Mes frères ont été tués par traîtrise, et mes sœurs ont été jetées en pâture à ses soldats. Tu as vengé ma famille et jamais je ne pourrai payer ma dette. Car je ne possède rien de valeur, et je ne puis t’offrir que ma virginité ainsi que ce voile qui est à mes pieds. Prends-les. J’ai fait couler en abondance le miel blond, doux à l’âme sur mes lèvres, mes seins et mon sexe. Goûte-le selon la tradition de nos pères, et prends-moi comme concubine. Je fais le vœu devant tous de ne plus voiler mon corps et de ne plus me soustraire aux regards avant que mon ventre ne porte ton fruit. Si tu ne veux pas de moi, fais de moi ce que tu désires, car je suis désormais ton esclave. Elle parla ainsi, la divine Ariadnh à la bouche vermeille, et au lieu de se prosterner, elle adopta la posture de la présentation des vierges, les bras levés, les mains derrière sa tête altière, présentant en avant ses seins parfumés. Nul n’osa bouger ni lever le regard sur elle. Seul Yikashata aux armes resplendissantes se leva et s’approcha d’elle. Il ordonna que l’on consacrât à la Grande Mère le voile qui reposait à ses pieds menus ...
    ... aux ongles couleur de nacre. Il goûta le miel blond à ses lèvres vermeilles et à ses seins doux comme des fruits. Il goûta le miel de sa vulve qui était cousue de fil d’or, ainsi que le voulait la coutume de sa dynastie. Les fils étaient fermés du sceau d’or du divin Sijapuros – que son étoile brille à jamais –. Et il sut qu’elle avait dit vrai. Il l’emmena sous son dais et l’étendit à ses côtés sur le lit royal dans la posture des concubines. Couchée sur le dos, adossée aux coussins, la main gauche cachant ses seins parfumés, et la main droite aux ongles de nacre sur son pubis immaculé, ainsi qu’il convient à une concubine, elle illuminait la salle du dais et tous furent éblouis. Alors, le divin Yikashata dit à l’assistance ces paroles ailées : Voici Ariadnh aux seins parfumés, fille du divin Sijapuros. J’ai goûté le miel de ses parties intimes, et, selon la tradition de nos pères, je la prends sous ma protection. Elle est ma concubine à partir de cet instant et vous lui rendrez hommage comme il se doit. Il parla ainsi, et ordonna qu’on ne fermât pas les rideaux du dais afin de respecter le vœu de sa concubine. Il lui permit de le dévêtir et de masser son corps fatigué. À trois reprises, elle fit jaillir en abondance la semence royale, avec ses mains douces et parfumées comme l’huile. Et elle recueillit la semence de son divin maître sur son ventre et ses seins afin que nulle goutte ne se perdît. Et l’assistance voyant cela se réjouit de la virilité du Roi. Et Yikashata et la ...
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