1. Le joli mois de mai. 6ème partie


    Datte: 31/01/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... ses genoux, le bassin en avant et les sphincters serrés autour de mon pouce, elle se fait jouir seule comme si je n’étais plus qu’un sex-toy la prenant devant et derrière. Elle reprend petit à petit ses esprits et sa respiration. Retombée comme une marionnette désarticulée mais toujours pénétré par mes doigts, elle s’avoue vaincue et me dit dans une expression qui m’emplit d’une fierté toute masculine : - « Espèce de salaud, tu m’as fait jouir comme une folle… » Elle m’embrasse en me plantant ses doigts dans mes cheveux trempés de sueur. - « Un partout à la mi-temps ! » commente Nicolas. « Le Champagne semble nous réussir à tous les quatre ! Attendez-moi avant de reprendre la rencontre.» Il sort le sexe encore triomphant nous chercher une autre bouteille. Sans aucune considération pour ce qu’il vient de dire, sa femme tient à avoir sa revanche et me pousse sur le lit. Allongé sur le dos, je suis à sa merci et m’abandonne avec encore moins de culpabilité que Christelle se joint à elle pour m’entreprendre de la plus belle des façons : sa langue se joignant à celle de son amie autour de ma verge. Quand Nicolas nous retrouve avec le ravitaillement il n’est pas surpris du spectacle que nous donnons et se joint à nous avec deux coupes : une pour Christelle et l’autre pour sa femme. Cette dernière comprend le message et commence à la porter à ses lèvres avant, la bouche pleine, de venir se poser entre mes cuisses. Gourmande, elle commence à me titiller le gland comme un petit ...
    ... chat lape son lait. L’alcool sur ma peau à vif me pique et me glace en même temps. De son côté comme si la vision de mon sexe sucé par Valérie la stimulait, Christelle commence à faire de même avec Nicolas. Ainsi caressé tous les deux par nos maîtresses, nous nous abandonnons à l’extase. Avec une science consommée, elles arrivent à nous maintenir au bord de l’orgasme de longues minutes. Mais au bout d’un temps qui me parait trop court je succombe à cette délicieuse torture : je me cambre en attrapant le visage de Valérie et me vide à long traits dans sa bouche. Après avoir encaissé la violence de mes spasmes, son sourire est une autre récompense. Sans pour autant, se plaindre des soins de ma femme, Nicolas semble marquer quelque peu le pas et il faut toute la dextérité de Christelle pour qu’il jouisse enfin. S’essuyant à son tour le visage, ma tendre épouse nous propose avec humour de passer aux nourritures solides après tout ce liquide. Dans un seul mouvement Valérie se rapproche d’elle, l’embrasse et d’un coup de langue lui efface les dernières gouttes de sperme de son mari aux commissures des lèvres. Nous retrouvons le coin salon et dans une totale désinvolture, sans la moindre pudeur, commençons à grignoter, nus comme des vers, les gourmandises posées sur la petite table, accompagnées encore une fois de Mumm. Nous reprenons ainsi des forces avant de nous retrouver de nouveau à faire l’amour tous les quatre. Cette fois de manière plus classique. Nos délicieuses épouses sont ...
«1234...9»