1. Le joli mois de mai. 6ème partie


    Datte: 31/01/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... et Sébastien. En promenant ses mains sur le corps brûlant de Christelle elle atteint son sexe de ses doigts. À ce contact ma femme tressaille comme si elle recevait une décharge d’électricité. Encore trempée de mon sperme, sa chatte est un appel aux caresses. Son clitoris tellement sollicité par ce missionnaire, est lui aussi en attente de baisers. Valérie se détend et commence à glisser à ses pieds quand Christelle lui demande : - « Non pas comme ça ! Moi aussi je veux te caresser en même temps. » Elle cesse donc son mouvement et pivote sur ses genoux pour lui offrir en se posant sur elle, son sexe ouvert. Ainsi toutes les deux commencent un langoureux cunnilingus. De ma place, je ne rate rien du spectacle de cette langue féminine qui fouille ce sexe totalement épilé. Je devine tout le plaisir de ma femme lorsqu’elle aspire le sperme de Nicolas en enroulant sa langue autour du clitoris rose de sa maîtresse. De son côté Christelle commence elle aussi à sentir le plaisir monter. Je sens à l’observer qu’elle va bientôt jouir rien qu’à la voir se cambrer en tendant son bassin vers cette bouche qui l’aspire et cette langue qui la fouille. Soudain je la sens se tendre et dans une grande inspiration se laisser submerger par cette vague qui l’emporte. Un râle qui va crescendo commence à remplir la chambre et témoigne du talent de Valérie quand ma femme jouit en secouant sans tête de gauche à droite comme si elle ne revenait pas du plaisir qui l’envahit. Les yeux éperdus elle ...
    ... reprend son souffle et plonge entre les fesses de son amie pour la faire jouir à son tour. Elle attire vers elle cette croupe offerte, plonge en elle pour sucer son clito maintenant décapuchonné. Elle saisit à pleines mains ces fesses rebondies et plante ses doigts dans cette chair bronzée. Elle effectue maintenant des mouvements comme pour la pénétrer de sa langue. Cédant enfin, Valérie s’abandonne aux caresses de ma femme dont la bouche est pleine du sperme de Nicolas et du parfum torride de cette femme. Nos deux amoureuses reprennent alors leurs caresses mais cette fois sans connotation sexuelle. Ce sont des gestes d’une infinie douceur qui témoignent de leur tendresse l’une pour l’autre. Nicolas me sourit et me propose de le suivre dans un geste mystérieux. Je me lève embrasse sur les lèvres de ma femme encore frémissantes de plaisir, caresse les reins cambrés de Valérie, et disparais à la suite de notre hôte. Après avoir abandonné nos épouses à leurs caresses mutuelles, Nicolas et moi nous retrouvons dans le salon et tout en sirotant un Lagavulin de dix-sept ans, nous échangeons comme si de rien n’était. Cette complicité, cette simplicité et cette décontraction me plaisent beaucoup. Nous avons rencontré des amis. Le temps passe et deux ombres furtives nous rejoignent. Préférant à la force du whisky, la pétillance du champagne, Christelle et Valérie, se posent à nos côtés. La discussion s’étire jusque tard dans la nuit. Enfin, il est temps d’aller nous reposer. Quelques heures ...
«12...456...9»