Un réveil érotique
Datte: 02/02/2021,
Catégories:
h,
fh,
fplusag,
Inceste / Tabou
toilettes,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
nopéné,
... Mais c’est plus fort que moi. Le plaisir est devenu le maître qui commande. Je ne peux plus retarder la jouissance. C’est dans un rictus et des petits cris étouffés que je vois jaillir mon sperme. Trois longs jets s’étalent sur le ventre. Puis deux petits jets. En me délassant et en faisant ressortir quelques dernières gouttes de cette crème, je sens monter son odeur douceâtre… Mais la porte s’ouvre brutalement alors que je suis toujours allongé, les jambes écartées, sur le lit. Le sexe encore gros couché, indolent, sur le côté et le ventre couvert de traînées blanches. C’est Rosa la femme de ménage qui semble avoir elle aussi oublié, tout comme moi, mes vacances. Elle reste interdite, la bouche ouverte quelques secondes, puis bredouille des excuses et s’empresse de refermer la porte. Rosa est une femme de 55 ans, d’origine portugaise, donc très brune, plutôt ronde avec une poitrine très développée qui tend le tissu des blouses un peu datées qu’elle a l’habitude de revêtir. Elle travaille depuis dix ans chez mes parents. Cela lui est arrivé de me faire la toilette quand j’étais petit, mais elle ne m’a plus vu nu depuis longtemps. Et je suis sûrement aussi gêné qu’elle. J’ai bien changé depuis ces moments-là. Mon sexe s’est développé. Sans être aussi énorme que je le voudrais (je n’échappe pas aux clichés masculins habituels), il a toutefois en érection une taille conséquente et un beau gland bien dessiné et dégagé. Et dans ma posture impudique, rien de mon anatomie n’a pu ...
... échapper à Rosa. Je ne vais plus oser passer devant elle sans rougir. J’attrape à la volée mes mouchoirs et je m’essuie rapidement. J’enfile mon peignoir et je file vers la douche. Je rase autant que je peux le mur du couloir mais je tombe sur Rosa qui balaye juste devant la porte de la salle d’eau. À mon air déconfit et mes regards fuyants, elle offre un grand sourire où elle dévoile toutes ses dents : — Excuse-moi, je ne savais pas que tu étais là. Ne sois pas gêné c’est très naturel. Et puis il a bien changé mon petit Adrien ! Il est un vrai homme maintenant. Et elle continue sur un grand éclat de rire. Je ne sais plus où me mettre… — Et tu dois avoir des petites copines, non ?— Heu… Pas vraiment…, balbutiai-je, tout gêné.— Oooh comme c’est dommage ! Toute cette belle énergie gaspillée. Mais tu veux peut-être te nettoyer ? Je te laisse passer. Et elle m’ouvre la porte avec un petit sourire que je pourrais comprendre comme coquin. Au moment où je passe devant elle, la voilà qui reprend : — Dis, mon petit Adrien, tu ne voudrais pas me la montrer à nouveau ? Je n’en crois pas mes oreilles. Cette femme, à côté de laquelle je vis depuis si longtemps, qui me propose une telle chose… Il est vrai que je n’ai jamais dédaigné fantasmer sur elle, mais il ne me serait jamais venu l’idée de lui faire des propositions indécentes ; que je n’aurais de toute façon jamais eu le courage… Je suis tétanisé surtout que ma queue possède encore les traces de ma dernière masturbation, je ne la crois ...