Éric et Anne complices
Datte: 02/02/2021,
Catégories:
fh,
couple,
extracon,
Collègues / Travail
revede,
Oral
... pas, mais des messages se succèdent à une minute intervalle, courts mais explicites : Pendant les trente minutes que durent ces révélations, Anne reste accrochée à son téléphone, dans l’attente. Elle ne répond pas à la question. Elle ouvre le tiroir et trouve bien un string noir, fin. Une envie incontrôlable s’empare d’elle, elle prend son sac, y glisse le string et se rend aux toilettes. Là, elle retire le sien qu’elle roule dans son sac, et enfile celui de Sylvie. Regardant l’heure, elle sort précipitamment s’acheter un sandwich, qu’elle mange en marchant, se concentrant sur les articles en vitrines. De retour au bureau, elle s’enfonce dans ses dossiers, allant d’une collègue à un autre pour suivre l’avancement. Elle évite le bureau de Patrice. Rentrée, elle s’occupe du repas, des enfants. Ceux-ci couchés elle prend une douche longue qui la détend. La vue du string de Sylvie par terre lui fait venir un flot d’images. Elle sent le désir monter en elle. Elle se rince, se sèche, puis, la serviette autour d’elle, se dirige dans la chambre. Allongé sur le lit, lisant, Éric lui sourit. Elle s’approche de lui, prend le livre de ses mains et le pose. Elle l’embrasse. Éric dénoue la serviette et laisse jaillir ses deux seins préférés, deux poires juteuses dont il ne se lasse pas. Il les caresse, les soupèse, flatte délicatement les tétons sensibles. Il se détache de la bouche d’Anne pour venir les embrasser tour à tour. Les mains d’Anne s’affairent sur le caleçon d’Éric. Son pieu ...
... est tendu, gonflé de sève. Elle se met à califourchon au-dessus de lui et fait glisser le gland contre sa vulve qui s’humidifie. Éric la laisse faire, il continue de caresser ses seins, flattant les tétons, caressant la chair délicate. D’une main, elle positionne le membre qui glisse d’un coup en elle. Réalisant une chorégraphie avec son bassin, elle les entraîne tous deux dans une danse endiablée qui ne tarde pas à les mener à l’extase. Un tendre câlin s’ensuit, abondant de baisers. Éric va chercher des verres d’eau et se rallonge à côté d’Anne qui lui demande : — Tu sais ce que j’aimerais ?— Dis-moi.— J’aimerais que tu me dises tout.— Mais je te dis tout !— Même ce que tu n’oses pas me dire pour ne pas me vexer ?— Comme quoi ?— Est-ce que tu as des collègues qui te font bander ? Éric reste muet. Anne se met à quatre pattes et approche son visage du sexe d’Éric : — S’il te plait, dis-moi, ça me donne envie de te lécher. Le sexe se gonfle avec certitude. — Donne-moi le prénom de la plus bandante, mon chéri. Déstabilisé, Éric parvient à prononcer timidement : — Véronique.— Huuum, Véronique, dit Anne en passant sa langue sur toute la longueur du membre devenu tout dur, décris-moi Véronique s’il te plait.— Brune, des cheveux longs, des yeux verts. Anne qui avait avalé la moitié du sexe, le fait ressortir. Elle regarde Éric dans les yeux et lui demande : — Comment est sa bouche ?— Assez large, des lèvres ni fines, ni outrancières.— Ferme les yeux et imagine que c’est sa bouche mon ...