Éric et Anne complices - Histoires de Sexe

Éric et Anne complices

... talons. Il ne sait pas si son esprit lui joue des tours, mais il lui semble que la croupe majestueuse chaloupe fortement en se dirigeant vers la porte. Il tente de se ressaisir et envoie un mail à Véronique : — Je suis désolé, pas trop dans mon assiette aujourd’hui, des trucs qui me trottent dans la tête. Dis-moi ce que tu veux et accepte mes excuses.— Pas trop grave ? Ça va aller ? Tu as l’air de planer.— Non, rien de grave, merci de t’en soucier, mais il n’y a pas de quoi. Ils échangent ensuite sur le boulot et ses besoins. Il est soulagé, avec ce qu’elle lui demande, il va pouvoir penser à autre chose pendant deux heures. Anne de son côté, a pris son rythme de croisière, mais beaucoup plus légère. Elle n’évite pas Patrice et lui glisse même en douce : — Je te rendrai le string de Sylvie quand je l’aurai lavé. Patrice est désarçonné et ne répond rien. Par contre elle reçoit un SMS de Sylvie : Alors que la journée de ses collègues s’achève, Anne voit arriver Sylvie à la porte de son bureau. Elle lui dit d’entrer. Sylvie vient l’embrasser et la complimente : — Tu es rayonnante aujourd’hui, presque plus belle que quand tu jouis.— C’est un compliment que je ne connaissais pas, je peux t’aider ?— M’autorises-tu à aller dans le bureau de Patrice ? Depuis qu’il sait que tu as porté mon string, il ne débande pas. Je vais aller le soulager sinon, il ne pourra pas finir les travaux que tu lui as demandés. À moins que tu préfères y aller toi-même ?— Merci, mais je dois ...

... partir. Prenant ses affaires, elle quitte les bureaux. Dans la voiture, elle imagine la scène. Sylvie à genoux sous le bureau, libérant le membre tendu avant de le sucer. L’image de Sylvie glisse et c’est elle qu’elle voit, avalant la verge, les mains de Patrice sur ses épaules, caressant son cou, glissant vers sa poitrine. Elle manque de sortir de la route, se ressaisit, s’attarde à détailler la liste des courses à préparer sur le restant du chemin. Éric est déjà rentré. Après le coucher des enfants, ils se retrouvent dans la cuisine. Anne, toujours de bonne humeur, s’enquiert de la journée d’Éric. Il lui raconte cette drôle de journée, ses réflexions, ses érections. S’approchant de lui, elle dit doucement : — Ça te fait bander de penser que Patrice m’a baisée, mon chéri ? Elle n’attend pas de réponse et pose sa main sur la bosse du pantalon, avant de continuer : — Tu sais que je l’ai sucé tout à l’heure avant de partir ? La hampe de chair bondit presque hors du pantalon. Éric demande, stupéfait : — C’est vrai ?— Sylvie est venue au bureau et m’a proposé de le faire à sa place, j’ai décliné, mais ça m’a excitée d’imaginer le faire. Éric glisse une main sous la jupe, le contact avec le string humide confirme les dires d’Anne. Il l’embrasse puis glisse à son oreille : — Suce-moi, mon amour. Ils reprennent leur baiser tandis qu’Anne libère le sexe gonflé et le caresse de ses doigts agiles. Elle s’accroupit devant lui. Continuant de flatter la tige entre ses doigts, elle lèche ...