Sally 1
Datte: 02/02/2021,
Catégories:
fh,
couple,
fépilée,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
massage,
rasage,
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
... excitation monte tellement que je sens quelques gouttes qui s’échappent de mon propre sexe. J’ai une vue plongeante sur le vagin de Sally et je constate que cette situation est loin de la laisser indifférente : son vagin s’ouvre et je vois ce petit trou s’écarter et se refermer doucement, comme s’il respirait. Je dois faire des efforts surhumains pour ne pas balancer les ciseaux et coller mes lèvres sur celles qui sont là, devant mes yeux, mais je sais que le plaisir qu’il y aura au bout n’en sera que plus violent. Comme si mon supplice n’était pas suffisant, voilà qu’apparaît au bord du vagin une petite coulée blanchâtre. Je le fais remarquer à Sally, qui m’avoue que mes mouvements doux et caressants, en plus du fait de se dévoiler aussi intimement, l’excitent tellement qu’elle aussi doit faire des efforts pour ne pas m’arrêter. Je suis passé à la lèvre gauche et, sous prétexte (mais en ai-je besoin ?) de ne pas rater de poils qui pourraient être sur la face intérieure, j’écarte les deux lèvres en même temps, et je suis bien récompensé, car je vois maintenant l’intérieur de son sexe en totalité et ce minuscule petit trou supplémentaire au-dessus du vagin me donne envie de la voir faire pipi. J’en fais part à Sally, qui me répond de continuer mon travail -"espèce de cochon"-, mais j’entends bien, au ton donné, que le message est passé et que ce n’est que partie remise. J’en ai presque terminé avec les deux grandes lèvres, mais là où elles se rejoignent entre les fesses, je ...
... n’y arrive pas facilement. Je demande donc à Sally de bien vouloir se retourner. Elle se met sur le ventre, mais cela ne m’avance pas. Je lui dis de se mettre à genoux, la tête sur l’oreiller. Elle n’avait pas pensé qu’elle devrait prendre une telle position et je dois insister un peu (pas trop quand même). Elle se met alors à genoux. À ce moment, je ne dis plus rien qui pourrait rompre le charme et je pousse gentiment ses épaules vers le bas, tout en écartant ses genoux et là, je n’en peux plus ! Je croyais avoir joui de tous ses trésors, mais la vue de ces deux superbes fesses relevées et écartées avec, au centre, ce petit cercle brun tout plissé, bien rond, bien régulier et, en dessous, sa petite moule maintenant bien dégagée, parfaitement visible, me comble de bonheur. Ses seins, un peu lourds se tendent vers le bas, ses tétons sont à la limite de toucher le lit et les légers mouvements que je lui imprime font frotter ses petites framboises sur la serviette, ce qui les fait bander comme des petites bites. Moi aussi, je change de position et je me mets en tailleur entre ses mollets, ce qui me permet de l’empêcher de refermer les jambes, mais surtout d’avoir mon nez à quelques centimètres de ce que je considère comme la plus belle vue du monde. J’en profite pour humer toutes les odeurs qui émanent de ce corps de femme, je tente de définir de quel endroit provient chacune d’elles. Celle-ci, un peu musquée, de son anus ou celle-là, un peu plus aigre, de sa foufoune ou encore la ...