Sofia (6)
Datte: 02/02/2021,
Catégories:
Transexuels
La fois que j’ai trouvé la plus excitante est celle où je me suis fait prendre par un inconnu devant une autre femme. Ce jour-là, j’avais décidé d’aller faire du shopping dans un immense complexe de vêtements. Il faut bien dire que depuis que je faisais du shopping en tant que femme et que ma chevelure m’arrivait au milieu du dos, j’attirais moins les regards interrogateurs sur mon genre. Je me rappelle que c’était pendant l’été. J’avais mis une tenue assez légère : une jupe droite noire en satin avec un beau chemisier blanc en soie sans manche avec une fine lavallière noire nouée autour du col. Pour compléter tout cela, j’avais mis également des escarpins noirs que j’avais empruntés à Laura. Je flânai dans le magasin, ne trouvant pas le style de vêtements qui me caractérisait mais, pour moi, le plus important était de me balader en femme devant tout le monde. Cela m’amusait et m’excitait tout à la fois. Soudain, j’eus une idée saugrenue qui me traversa la tête. Enfin pour quelqu’un de normal, par contre pour quelqu’un de déluré comme moi, l’idée me parut tout de suite abordable. Cette idée se rapportait à un lieu, un lieu dont tout le monde fantasme pour y faire l’amour : l’ascenseur. En effet, en me promenant dans les rayons, j’étais tombé nez à nez avec un de ceux-ci. J’avais donc le lieu mais il me fallait trouver un partenaire de jeu. Ce fut d’ailleurs une première pour moi car, d’habitude, je provoquais mais c’était toujours l’autre qui prenait l’initiative. Je me ...
... postai près de l’ascenseur et attendis ma proie. Plusieurs fois, des groupes montaient ensemble mais jamais un homme seul et convenable n’avait franchi le seuil de l’ascenseur. Au bout d’une demi-heure, un bel étalon monta seul. Je me précipitai alors à sa poursuite et, ouf, j’avais réussi mon coup. J’étais à l‘intérieur. De plus, il me remarqua tout de suite et il me sourit. Je me dis à ce moment-là que c’était gagné quand la porte qui allait se fermer se rouvrit. Une femme d’une trentaine d’années entra et nous salua. Intérieurement, je la maudis car, un : cette conne était montée avec nous et deux : elle était super belle. Je me mis à réfléchir à cent à l’heure. J’avais maintenant trop envie de me faire démonter le cul et le temps de retrouver un autre homme était trop long. Alors, en un éclair, je me dirigeai vers les boutons de l’ascenseur et j’appuyai sur stop. On sentit une secousse qui nous montra qu’il s’était arrêté. Des mécontentements fusèrent. Moi, jouant la comédie, je fis semblant d’appuyer sur les boutons pour le faire repartir, ce qui d’ailleurs énerva la demoiselle car elle me dit que cela ne servait à rien. Je lâchai alors l’affaire et me plantai face à l’étalon. La miss sortit son portable et, bien entendu, comme dans tout ascenseur, il n’y avait pas de réseau. — Et merde, il n’y a pas de réseau, s’énerva cette demoiselle décidément pas ambiancée par mes petits plans. — Ce n’est pas si grave, nous sommes en charmante compagnie, dis-je tout en adressant un joli ...