La mauvaise pente (6)
Datte: 04/02/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... Je la rappelai à l’ordre : " - Eh, tu as entendu ce qu’on t’ordonne ?! Bouffe cette chatte ! Et ne te débats-pas sinon je t’attache les poignets dans le dos ! Ouvre la bouche, sors ta langue et lèche-moi cette vulve comme il faut !" Pour l’aider un peu, j’avais saisi ses cheveux et j’appuyai sa tête contre l’entre-jambes de ma belle-sœur qui avait écarté ses cuisses largement et de façon obscène pour lui faciliter la tâche. Stéphanie n’eut pas d’autre choix que de sortir sa menteuse et, maladroitement, de commencer à faire reluire les muqueuses intimes de ma belle-sœur que je voyais pour la première fois. Mon frère, trop honnête, n’avait pas été mis dans la confidence ; et même si je n’avais aucune intention d’avoir la moindre relation sexuelle avec sa femme (pas plus qu’elle, d’ailleurs), celle-ci avait mis sa pudeur de côté devant une pareille occasion. Elle se vengeait de la belle jeune femme qui avait tenté de la flouer et l’avait trop traitée avec mépris, comme une Noble aurait traité une domestique. Elle m’avait, derrière le dos de son frère, tanné littéralement pendant des mois pour savoir où en était l’affaire - même si la dette ne lui était plus due à elle - et j’avais dû me justifier, pour finalement avouer ce que je comptais faire pour me la faire payer (et faire payer Stéphanie, au sens propre comme au sens figuré !) Loin d’être choquée par mes intentions (elle avait juste estimé qu’elle s’en sortait à trop bon compte), elle avait vu là une occasion unique de ...
... laver l’affront qui lui avait été fait, et d’humilier, de rabaisser, « d’avilir cette salope »... pour employer ses propres mots. C’est elle qui m’avait apporté mon sac avec tous les accessoires-surprises que j’avais utilisés sur Stéphanie, était rentrée un bon moment après moi, la maison étant restée ouverte. Stéphanie qui ne devait pas être portée sur les femmes et sur la gougnotterie s’était mise en train et léchait comme un jeune chiot (une jeune chienne devrais-je dire) la chatte d’Isabelle. J’avais commencé à lui appuyer la tête sur l’entre-cuisse de sa dominatrice pour forcer sa motivation, puis j’avais passé le relais à ma belle-sœur, qui, grâce à la laisse, avait trouvé un moyen commode pour la contrôler, en l’ayant passé derrière sa nuque. Ce qui m’avait permis de me reculer et de prendre un nouveau cliché. Avec des signes de la main j’avais demandé le consentement d’Isabelle qui avait acquiescé avec satisfaction. " - Allez, applique-toi bien, petite pute !" lui disait-elle, "même si t’es pas gouine... fais comme tu voudrais qu’on te fasse, fais comme ton cornard de mari te le fait - s’il te le fait et s’il sait le faire !" Stéphanie ouvrit mieux la bouche, se mit téter les petites lèvres roses, suçota le bouton, puis, prise d’un enthousiasme frénétique (que je mis sur le compte de l’empressement à ce que ça se termine au plus vite), elle se mit à la lécher de bas en haut avec avidité. Le tableau était charmant et je fis même une petite vidéo. Ma belle-sœur, les yeux ...