De Hervé à Vanessa, chienne soumise (34)
Datte: 04/02/2021,
Catégories:
Transexuels
Notre soirée est des plus calme. Malika on regarde la ligne fluorescente laissée dans notre sillage. C’est le plancton qui, aspiré puis rejeté par hélices, forme une traînée d’un vert lumineux. Adélia est montée en passerelle, suivit de prés par Théna. Je tiens l’amour de ma vie dans mes bras. La douceur et la chaleur de ses fesses réveille Popol. Elle s’en amuse et se cambre. — Tu sais que j’ai eu une invitation de Gladys. Il paraît qu’il y a une surprise qui m’attend. — Et tu n’y vas pas?? — J’hésite. Je suis bien avec toi… — Vas-y… On a toute la vie pour profiter de notre couple. Allez, file… Me dit-elle en me poussant avec son cul. — Non, viens avec moi, tu vas nous espionner… Je laisserais la porte ouverte. — Je t’aime ma chérie… Hihihihi. Nous descendons à pas de velours les échappées qui nous séparent du pont de l’équipage. Malika pénètre dans la cabine d’Axiana, elle lui fait signe de se taire. Je frappe doucement à la porte de la cabine des quatre matelotes. Des rires et des bruits de chaises se font entendre suivis d’un "entrez" à peine audible. Je pousse la porte et la laisse à moitié ouverte. — Surprise, me dit Gladys, allez, met nous notre compte. Elles toutes les quatre, dos à moi, à genoux sur les chaises de la cabine. Une vue imprenable sur quatre fessiers. Trois petits culs bronzés et un énorme blanc de blanc. J’en connais une qui va se régaler, je parle de ma bite, bien sûr. Je m’avance et j’aperçois des numéros en chantilly sur leurs dos. De un à trois ...
... pour les triplées, le quatre pour Glagla. Je m’avance, queue tendue, vers numéro 1. Je me penche et récupère la crème avec ma langue. N°1 frissonne et pousse un "AHHH" de contentement. Pas une parole, pas un regard ne sont échangés. Elles sont toutes à bonne hauteur. Je caresse les fesses de N°2. Même réaction que N°1. Je positionne mon chibre à l’entrée du puits d’amour de N°1… — Vous n’êtes plus vierges?? Elles secouent la tête pour me dire que non. J’avance mon bassin lentement et rentre avec bonheur dans un con encore vierge de toute bite humaine. Un long râle accompagne ma progression. Quand j’arrive en butée sur son col, je demande : — Alors, c’est bon?? Je continue?? — Oui, à peine audible, c’est trop bon… Défonce-moi… Oui… Il me prend… Oui… Je continue de pousser et je sens l’anneau de son utérus céder. Je suis aux anges. Elle a la tête tournée vers moi et essaie de voir. Elle a la bouche en "O". Une larme perle. — Ça va?? — HUMPH, oui, oui… ARGH… Ô, comme c’est bon… Je me retire et passe au N°2. Même punition, mais au lieu de ramasser la crème, je prends les cheveux de N°1 et la force à le faire. La forcer est un bien grand mot. J’astique N°2 de la même façon. Elle a une réaction inattendue, elle me branle en contractant ses muscles vaginaux. La réaction de Popol ne se fait pas attendre. Il déverse sa pré-soupe dans les tréfonds de son utérus… — Putain, il a déjà joui, il me remplit… Petite conne, si elle savait, cela ne fait que commencer. Je me retire. Mon méat fuit. ...