1. Une soirée d'improvisation


    Datte: 04/02/2021, Catégories: fh, couple, cocus, Collègues / Travail fépilée, amour, Oral préservati, pénétratio, champagne, tutu,

    ... gonflé me fait mal. Enfin ses mains se referment sur ta poitrine, Tes petits seins se gonflent au maximum du plaisir, tu te cambres… tu t’offres. Je devine que sa langue a continué son exploration de ton sexe lisse. Ta bouche reste entrouverte, signe de la montée de ton plaisir. Je ne m’étais pas trompé, très rapidement ton corps libère des spasmes, témoins de ton orgasme. Tu ouvres les yeux, tu me regardes. Ils brillent… Tu pleures ? Le sourire que tu m’adresses me rassure : il m’invite à la cérémonie. Je me lève doucement, remplissant une nouvelle flûte de champagne. Je l’approche de ton visage et fais couler le nectar sur tes lèvres. Des gouttes coulent sur tes joues, et tombent sur ton buste. Lentement je m’approche pour lécher le breuvage, ma langue retrouvant enfin la douceur de ta peau. Frédéric retire sa chemise et son pantalon. Il remonte complètement ta jupe. Le spectacle que tu nous offres est le plus chavirant qui soit. Mon sexe est vraiment trop à l’étroit. Je passe dans ton dos et commence à caresser ton ventre, tes seins, tes épaules. Par-dessus le dossier, je plonge ma tête vers tes lèvres. Nos langues se mêlent en un ballet endiablé. Tes mains s’accrochent à ma nuque. Bizarrement j’ai l’impression que tu te coupes en deux. Ta tête (ton cœur) pour moi… ton corps offert à notre hôte. Tes jambes entourent la taille de Frédéric, lui ordonnant de te prendre ; tes bras me serrent, m’imposant de t’embrasser. D’un regard furtif je vois notre « compagnon » enfiler un ...
    ... préservatif. Très rapidement il pénètre en toi et commence un lent mouvement. Tu te cambres, tu halètes. Tes baisers continuent, fougueux, désespérés. Je sais que tu veux qu’il accélère, pourtant c’est lui qui a repris la maîtrise du jeu. Tes gémissements deviennent des cris, tes ongles s’enfoncent dans ma nuque. Enfin, Frédéric cède lui aussi à la bestialité. Le voilà qui accélère ses mouvements, il s’enfonce au plus loin en toi. Tes baisers cessent, seuls des cris de plus en plus longs sortent de tes lèvres, tes bras me serrent à me faire mal. Soudain tu t’effondres, ton corps est parcouru de soubresauts, tu cries, tu jouis. Frédéric, jusque là silencieux, libère également des cris fauves, sauvages. Tu ne le regardes même pas. Tes jambes se referment, tu les replies sur le fauteuil. Tes baisers reprennent et je m’abandonne dans cette étreinte infinie. Nos langues ne semblent plus nous appartenir. Devant nous, Frédéric ne perd pas une miette de notre fusion. Lentement, il se rhabille. Tu refermes ton chemisier. Tu t’écartes pour attraper ton string que tu glisses rapidement dans ton sac. Tu rajustes ta jupe. Étonnés, nous te regardons. Tu te redresses, tu prends ma main sans un regard pour notre hôte. Tu m’attires et nous sortons de l’appartement sans un mot. Tu refermes la porte et attrape ma main qui se dirigeait sur le minuteur. Tu me pousses contre la porte de Frédéric et, dans le noir, tu t’agenouilles. Tes mains s’affairent sur mon pantalon et rapidement tu libères mon ...