1. À la poursuite du faux pivert


    Datte: 26/10/2017, Catégories: h, fh, 2couples, couple, Collègues / Travail train, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, humour, policier,

    ... soin de « repérer » précédemment. Une petite lucarne s’ouvrait sur ce que je supposais être le bureau du ventripotent patron, et je me dis que, faute de mieux, je pourrais au moins observer ce que faisait Karen avec le type. Pas de bol, la lucarne était trop haute et je ne pouvais l’atteindre. Le jour où les architectes se mettront à faciliter le travail des détectives… Avisant un conteneur à poubelle monté sur roulettes (fort heureusement pour mon lumbago), je me mis à traîner l’odorant objet sous la lucarne aperçue précédemment et, préférant écouter mon courage plutôt que mon odorat, j’entrepris de grimper dessus. La vue était sublime et j’écarquillai les yeux, n’en perdant pas une miette. Au milieu du bureau du patron, Karen, les nichons débordant de son chemisier, était à genoux devant l’homme et mettait tout son cœur pour lui prodiguer une fellation dont il se souviendrait longtemps. Je voyais l’homme, négligemment accoudé contre un bureau métallique miteux, et je voyais surtout cette experte de Karen qui enfournait le membre du lascar dans sa bouche que, par expérience, je savais chaude et douillette. Elle y mettait beaucoup de cœur, et je voyais le visage de l’homme s’abandonner peu à peu à la caresse que je devinais plus qu’agréable. La poitrine de Karen pointait fièrement vers l’avant et j’avais un mal fou à décrocher mon regard des ses seins, pas particulièrement gros mais très bien dessinés. À cette heure, vautré sur la poubelle, dans cette ruelle sombre, j’aurais ...
    ... donné n’importe quoi pour échanger ma place avec le patron, mais malheureusement, cela n’était pas au programme. Je vis l’homme s’écarter de Karen et lui parler. La lucarne étant fermée, je n’entendais pas un mot de la conversation. Je vis Karen se relever et trousser sa jupe sur ses hanches, dévoilant une charmante petite culotte noire. Elle se pencha en avant sans rien dire, prenant appui sur le bureau minable. L’homme approcha par derrière, tendant son sexe bandé à l’extrême et bien lubrifié par la salive de Karen, écarta la culotte, et se mit à la besogner, pétrissant ses seins de ses grosses mains. Ne me retenant plus, je sortis mon sexe de mon froc et me masturbai fiévreusement, oubliant les odeurs déplaisantes qui montaient de la poubelle sous moi. Sous les assauts infatigables de l’homme, Karen se déhanchait et remuait de manière plus que sexy sa croupe. Ce n’était plus Karen que je voyais, c’était une vraie furie et, grâce à ma grande expérience, je savais que l’homme était en train de connaître un plaisir proche du nirvana. D’ailleurs, ça ne tarda pas ; crispant ses mains sur les seins de Karen, le patron ressortit sa queue et éjacula sur la croupe de mon assistante, le visage tordu par une grimace obscène. Devant un tel spectacle, je ne me retins plus et jouis à mon tour sans pouvoir retenir mon cri. C’est à ce moment-là que le couvercle de la poubelle céda. Mon amour propre m’oblige à vous passer la description du plus célèbre détective privé de Chicago, la bite à ...
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