Une première nuit de découverte
Datte: 05/02/2021,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
hotel,
Masturbation
intermast,
Oral
69,
fdanus,
hdanus,
glaçon,
init,
... Mes mains attrapent les bretelles et font glisser le précieux sous-vêtement. Le spectacle qui s’offre à mes yeux, une fois qu’il a disparu, est grandiose. Des seins magnifiques, fermes et pourtant d’une taille plus que raisonnables, ornent superbement son corps. Alors que je me suis arrêté un instant de l’embrasser pour les contempler, elle baisse la tête. Une sorte de pudeur, mêlée de satisfaction. Un plaisir grandissant fait battre son cœur à un rythme effréné et son souffle devient court. Mon plaisir est également intense. Ma queue en érection me fait mal. Trop serrée, elle ne demande qu’à se libérer de l’étroitesse de sa prison. Je prends ma tendre moitié dans mes bras, et la dépose avec une infinie précaution sur les draps. Telle une strip-teaseuse, elle dégrafe sa jupe et l’enlève, découvrant ce que j’espérais, un superbe porte-jarretelles, assorti à un adorable tanga. Tout en ne perdant rien du spectacle, j’enlève mon pantalon, ne gardant encore que mon caleçon, qui déformé, semble bien dérisoire. Elle a terminé son effeuillage et ma laisse désormais admirer ses longues jambes, gainées de noir, minces et musclées. Calmement, je prends alors l’initiative. Je remonte mes mains à l’extérieur de ses jambes, jusqu’au bassin. Je masse son ventre, j’ose m’immiscer un instant vers son entrecuisse, ce qui lui fait émettre un petit gémissement de satisfaction. Je tapisse ensuite son ventre de mes baisers. Assortie à feu son soutien-gorge et à son porte-jarretelles, sa culotte – ...
... un tanga assez échancré – protège encore sa beauté naturelle. Le respect que je lui porte m’aide tant bien que mal à repousser cette pulsion animale de la prendre brutalement, pour la baiser comme une bête sauvage. Je ne veux pas faire preuve de goujaterie en lui enlevant violemment ce bout de tissu. Elle attend sans nul doute de moi que je fasse preuve d’imagination pour lui ôter ce dernier obstacle à sa « pudeur ». Il me vient l’idée de prendre un cube de glace du seau à champagne, posé sur la table de nuit. Je le fais glisser sur tout son corps, lui arrachant des frissons. Son visage, son cou, ses seins pointant vers le ciel, il fond de plus en plus rapidement et est quasiment réduit à l’état liquide à la hauteur de son nombril. L’eau froide continuait à ruisseler vers son triangle, s’engouffrant sous sa culotte en l’humidifiant sur son passage. Je viens alors au-dessus d’elle, une jambe de part et d’autre de son corps, et je me mets à lécher le liquide dispersé. Cette situation l’amuse visiblement autant qu’elle la réjouit au moment où, descendu vers le bas de son ventre, je glisse ma langue légèrement sous sa petite culotte, pour y chercher les dernières gouttes. Ses mains, posées sur mon dos, se serrent, ses ongles me griffent doucement. La situation est à mon avantage. Doucement, mes dents commencent à tirer délicatement sa petite culotte. J’aide le mouvement de mes mains, pour ne pas l’abîmer. Elle glisse et remonte lentement le long de ses jambes. Elle place ses bras ...