1. Sissy à bord (2)


    Datte: 05/02/2021, Catégories: Transexuels

    (... suite...) Je fis des rêves érotiques, rêvant de moi, du Capitaine, puis mon rêve tourna au cauchemar, avec mon père et sa ceinture prête à me frapper… La boucle de sa ceinture allait m’atteindre en plein visage lorsque je me réveillais en sueur, l’entendant hurler… ce que je prenais pour les hurlements de mon père était le tonnerre, tandis que la foudre zébrait le ciel, que je voyais par le hublot de ma cabine. Le bateau tanguait plus que de coutume, le ciel était d’un noir d’encre, si ce n’est les éclaires qui le zébraient dans un fracas assourdissant… on était en pleine tempête, et j’avais peur. Je n’avais jamais vu une tempête si forte. De mon cauchemar me restait aussi un malaise. J’avais besoin de réconfort. J’entendis alors la voix du Capitaine dans le couloir. « - C’est ton quart Bart, moi je retourne dans ma cabine. — Bien compris Capitaine, rien de particulier ? — Non, y’a du grain, mais c’est normal en cette saison, rien d’extraordinaire. — D’accord Capitaine, je monte aux commandes. Bonne nuit Capitaine. » J’avais besoin de réconfort, et je repensais à sa main contre ma cuisse, caressant mes fesses. Sa bosse, dure, entre mes fesses. J’étais curieux. Comment c’était ? Et si j’aimais ça ? Les questions se bousculaient dans ma tête, les peurs et l’excitation aussi. Les visages des femmes dans les magazines me revinrent, elles étaient aux anges. Soudain, un nouvel éclair zébra le ciel. Je sursautais. Fermais les yeux pour me calmer... et revis les mains viriles ...
    ... du Capitaine sur moi. Je n’avais pas envie de dormir seul. Tant pis si pour cela je devais devenir femme. J’avais toujours les bas nylons noirs sur moi, je fouillais dans la malle et en sorti un string noir, semi transparent. Je passai une jambe dedans, puis l’autre, puis le fit remonter le long de mes jambes. Mon sexe débandé rentrait tout juste dans le petit triangle de tissu. J’ajustais la petite bande de tissu entre mes fesses. Puis je sortis un déshabiller noir, lui aussi transparent. Il se portait comme une sorte de kimono, avec des manches qui allaient en s’élargissant pour finir très évasées, se nouant à mi ventre par une ceinture ou cordon, et descendant jusqu’à mi-cuisse. Je le mis et nouai le cordon. Puis, sorti de ma cabine. Et entrais, sans toquer, dans la cabine du Capitaine. Entendant sa porte s’ouvrir, il se retourna, et me vit. Un nouvel éclair stria le ciel. Je me vis dans le miroir. Ma peau laiteuse était mise en valeur par le noir du string et du déshabiller. Ma taille gracile aussi. Lui était pied nu, torse-nu, en jeans. Il me regarda et sourit, ce sourire marquant son assurance continuelle… — Et bien, ça n’aura pas été long ! — Je… je ne veux pas dormir tout seul ce soir. Il s’assit sur le lit, m’invita à m’approcher. De nouveau, sa main se perdit sur l’arrière de ma cuisse, passant sous le déshabiller, montant vers le début de mes fesses… il était si viril, sa main si possessive tout en étant si douce… il caressait mes fesses, son doigt suivait la bande ...
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