Sylvia, femme d'action (4)
Datte: 05/02/2021,
Catégories:
Hétéro
... un article concernant les festivités du nouvel an chinois. Je peux vous interviewer ? S’il vous plaît ? Mon patron serait tellement content. Je ferais n’importe quoi pour recueillir vos impressions. S’il vous plaît, dites-moi oui, pour me faire plaisir. Devant ce qu’il croyait être une frêle jeune fille naïve, il accepta, donna un ordre à l’un de ses hommes et l’invita à le suivre. Depuis sa régie, son équipe – qui parlait chinois et avait tout entendu – lui signifia qu’elle avait ferré sa cible car il avait demandé à ce qu’on lui apporte une boîte de Viagra dans sa chambre. Tout de suite après il fit silence radio. Sylvia savait ce qui l’attendait : ça faisait partie du boulot, et c’était d’ailleurs pour ça qu’elle avait été engagée : elle n’avait pas peur d’utiliser le sexe ou tout autre moyen pour parvenir à ses fins. Une fois dans le bureau, une vaste pièce dans les derniers étages du bâtiment, il fallait sortir la brosse à reluire. — Oh, mon Dieu, mais quel vue... C’est magnifique ! — Ravi que ça te plaise, mais on sera plus à l’aise dans la pièce à côté. — Je vous suis, dit-elle après avoir repéré l’ordinateur. Ils se retrouvèrent dans une large chambre meublée à l’européenne façon louis XV. — Quel goût pour la décoration : on dirait un musée ! — La plus belle pièce ici, c’est toi. Bon, maintenant à poil ! dit-il après s’être servi un verre d’eau pour avaler sa pilule bleue. Sylvia sentit sur elle les grosses paluches du général, à présent en chemise et slip après ...
... avoir enlevé sa veste et son pantalon d’uniforme. Allongés sur le lit, ils se sont embrassés en se caressant. Puis pour lui faire encore plus baisser sa garde, elle l’a allongé sur le dos et s’est assise sur son gros bide. — Vous savez, l’interview, je peux la bidonner ; en fait, je m’en fous. Ce que je voulais, c’était vous rencontrer. — Noon… Je n’aurais pas deviné ! — Ça se voyait tant que ça que j’avais fait exprès de renverser mon verre ? — À peine. — Bon, ce n’est pas grave. Au moins c’est clair : on est là, on va pouvoir s’amuser. Pour le gros Chinois, c’était le jackpot. Il allait se taper une jolie Occidentale et pouvoir lui faire ce qu’il voulait. Cependant il n’était pas dupe. Il avait aussi gardé à l’esprit que cette fille qui avait son braquemart dans la bouche pouvait être une espionne. Il y avait, sur sa table de nuit, un bouton d’alarme au cas où. Son plan était de profiter d’elle autant qu’il le pouvait, et ensuite… il verrait plus tard. Ce qu’il ignorait, c’était que le rouge à lèvre de Sylvia avait des propriétés sédatives ; Sylvia avait absorbé un antidote pour ne pas en être victime elle aussi. Elle savait que, vu le volume du type, il allait falloir accélérer sa circulation sanguine pour en hâter les effets. C’est pour cette raison qu’elle avait envisagé de coucher avec lui. Après de longs préliminaires, Sylvia se retrouva à quatre pattes en train de simuler son plaisir avec des « Oh oui, encore, plus vite, plus fort… » alors que son amant était en train de ...