1. Mon fils m'a fait cocu. (6)


    Datte: 05/02/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    « J’ai l’impression que Jean-Mi me fait subir une épreuve en partant avec sa secrétaire, pour voir mon degré de tolérance et si je souffre aussi des affres de la jalousie » Dès qu’il fut parti, Eric n’a pas perdu une minute, visiblement lui n’en avait rien àfoutre de mes états d’âme. - Ouah Maman, on a tout une semaine que pour nous, sans trembler que père revienne trop tôt et nous surprenne, on va pouvoir prendre du bon temps en toute tranquillité. - Mais tu sais avec qui il est parti ? Sa secrétaire, cela ne va pas être pour enfiler des perles, mais bien autre chose. - Tu es jalouse ? - Je ne sais pas, j’aime ton père, même si je lui fais des cornes avec toi. C’est tellement différent vous deux. - Tu crois qu’il la baise ? - Je pense plutôt qu’elle va tout faire pour obtenir une augmentation. C’est comme cela que cela se passe et ton père est encore un homme très séduisant et puissant. Mon souci, c’est que je ne veux pas le perdre, ni toi, c’est tellement courant que la jeunette remplace l’officielle plus âgée. - Viens mère, je n’ai pas envie de philosopher sur le cocufiage, je veux t’aimer jusqu’à perdre haleine, même si je me sens un peu coupable. - Tu penses que moi je ne me sens pas coupable de t’aimer de manière plus que maternelle ? J’aime aussi ta jeunesse, ton vit que tu utilises si bien à mon plaisir, ta soif de mon sexe. Nous montâmes dans notre chambre, il était follement fébrile, je sentais qu’il voulait effacer les râles que j’avais hurlés la dernière nuit ...
    ... avec son père. Rapidement je me retrouvais nue comme au premier jour, le pire, c’est que sa hâte m’excitait au plus haut point, je sentais mapoitrine se gonfler et mes tétons s’ériger, pour ne pas parler de mavulve qui pleurait comme une madeleine. Il se dévêtit à son tour et tout de suite, il mit sa tête entre mes jambes pour boire mon nectar, je sentais sa langue qui se démenait pour m’amener rapidement à l’orgasme. - Déjà petite mère, tu es insatiable, je t’ai entendu la nuit dernière ce que tu as rugi ! Mais maintenant, je veux venir en toi, je suis trop excité pour rester sans me couler en toi. Il me mit sur le dos et commença à me faire l’amour avec acharnement. Son truc devenait de plus en plus chaud et moi aussi, il ne fallut pas attendre des heures pour que nous partions les deux dans un nouvel orgasme, je ne pus me retenir de hurler mon plaisir de sentir son soc labourer mes entrailles. Enfin, repus, nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre, J’aime quand je sens son amour fou pour moi et en moi, je fis des rêves merveilleux cette nuit et au matin, voyant qu’il avait la trique, je me suis mis à luisucer la bite jusqu’à ce qu’il décharge dans mon œsophage. Les aveux du fiston. À notre retour, J’ai organisé une petite fête où j’ai invité Marisette, évidement, je pris quelques libertés de comportement qui ne tombèrent pas dans les yeux d’un aveugle, parlant de mon fils. Un peu gêné, il s’approcha de moi, alors que j’étais en train de sucer le museau de ...
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