D'aspirant à salope (5)
Datte: 05/02/2021,
Catégories:
Transexuels
... taille ainsi que le l’ombre du string à travers. La perruque finit mon look. A nouveau je me sens bien comme cela, bien mieux qu’en pantalon et pull comme j’étais il y quelques minutes. De cet instant je ne pense plus homosexualité et virement de cuti, mais simplement que ces habits me mettent en valeur. Je m’allonge sur le lit et mets une cassette de mon premier colis. Ce n’est pas la première fois que je vois un film porno, mais dans cette tenue si. Le scénario n’a rien d’original, c’est comme d’habitude. Ce qui n’est pas classique, c’est ma façon de regarder. Je suis attiré par la lingerie et les talons que portent les actrices. Les bites des mecs aussi m’attirent, les voir pénétrer tous ces orifices me rend fou. Comme je sais ne pas avoir trois endroits pour accueillir un homme c’est leur bouche et leur anus qui me fascine. Ces pieux de chair entrent avec force et douceur dans ces femmes qui ont l’air de prendre un super pied. Je sens mon sexe est encore très dur, mais le string et le collant le maintienne tellement bien que je vois qu’une petite bosse sous la robe. Je ne peux décrocher mon visage de ces scènes plus hard les unes que les autres. Je change de film et regarde un « spécial sodomie ». — Ouah, je ne savais pas que cet orifice était aussi souple et accueillant. Je remonte ma robe et caresse mes fesses. Les yeux rivés sur l’écran, je glisse ma main sous le collant et mon index s’approche de mon anus. Il appuie par mouvement successif dessus doucement. Les ...
... mouvements de mon doigt suivent la pénétration de cette magnifique femme en guêpière noire et bas couture que je vois devant moi. Mon sexe me fait mal. Le doigt insiste. Le doigt est presque rentré dans mon intimité. Il finit par rentrer au moment où le partenaire de l’actrice lui jouit sur les fesses. Dans le même instant j’éjacule dans le string et le collant. Le sphincter se contracte au même moment sur mon doigt et accentue ma jouissance. — Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Je ne sais plus où je suis, quel jour on est, comment je m’appelle. Je m’endors. — Mon lieutenant ! Mon lieutenant ! Ce sont des coups à ma porte qui me sorte du sommeil. — Oui c’est quoi — Caporal Faivre, mon lieutenant, il est 8h30 et vous n’étiez pas au rapport, le capitaine m’envoie vous chercher. Et merde j’ai raté le rapport de 7h30, je vais me faire pourrir. — J’arrive, je serais là dans 15 minutes Je suis encore avec ma robe, mes talons et tout le reste. J’ai super mal au pied en retirant les escarpins et j’ai du mal à marcher. Après avoir tout enlevé, sans passer par la douche, je n’ai pas le temps, je me jette dans mon treillis, mes rangers, le béret et je rejoins mon bureau. Le capitaine m’a entendu, il entre, je me mets au garde-à-vous. — Mes respects mon capitaine — Repos Martin, alors on a eu une panne d’oreiller — Oui mon capitaine Comme à son habitude, il s’approche de moi et entre dans ma sphère personnelle. Il est à cinq centimètres, il me colle, il me scrute ...