Le tournant, une journée pas comme les autres
Datte: 27/10/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
asie,
inconnu,
fépilée,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
glaçon,
init,
portrait,
prememois,
inithf,
... Tout le plaisir était pour moi, répond Jean. Je continue une conversation anodine avec Coryne, et je vois Jean qui me jette quelques regards. Les deux autres garçons nous regardent aussi en détail. Sylvain bien attiré par le décolleté magnifique de Coryne et ses jambes un peu dénudées (l’avantage de s’asseoir en faisant semblant de rien quand la jupe remonte). J’avoue tout bas à mon amie que j’en ai marre du célibat, et j’avoue ce qui m’est arrivé au travail avec mon boss et cette sensation étrange en milieu d’après-midi. Elle me dit qu’il faut que je commence à lâcher du lest. Trois mois après la séparation avec ce mec en qui je portais de doux espoirs, j’ai toujours du mal à trouver un garçon. Elle me demande de me lâcher un peu. — Mais je ne PEUX pas. Tu vois, je rougis quand il arrive quelque chose de sympa, je ne fais jamais le premier pas et cela m’intimide.— Tu veux quoi ? Qu’est-ce qui te passe par la tête, là ?— Non mais, il y a des gens autour ! J’en parle pas, et puis ce serait censuré tiens…— Ah ok… bon j’ai bien saisi tout à l’heure ? Le brun ?— Euh… Oui il est mignon, mais je ne peux pas l’aborder comme ça.— Tu me suis ? T’es ok ?— …— On ne vit qu’une fois, t’inquiète tu ne te jettes pas à l’eau, t’auras l’occasion de lui échapper au cas où…— Ok. Coryne se lève et se rapproche des garçons. — Je peux vous offrir un verre ? Une bouteille à deux ça fait beaucoup.— Ok, volontiers.— Désolé, mais je dois partir, répond Jacques, un entraînement et un match à 22 h, ...
... n’importe quoi ! Mais il faut y être, désolé, j’aurais bien fait votre connaissance.— Merci, bon courage. Coryne sert les verres et j’en profite pour rapprocher nos affaires et m’asseoir pour former un cercle avec eux. On discute un peu, finalement ils sont très gentils. Sylvain a vraiment l’air attiré par Coryne qui n’en laisse pas échapper une miette. Leurs gestes se touchent parfois, ils ont l’air tactile. Quant à moi, je discute tranquillement avec Jean, et il a une voix sensuelle, calme qui me met à l’aise rapidement. Son regard pétille, je comprends que je ne le laisse pas insensible. J’ai envie de le provoquer un peu, gentiment. On est assis presque en face l’un de l’autre, je ramène mes jambes pour m’asseoir en tailleur, mais inévitablement, le regard de Jean se perd sur mes cuisses assez blanches. Ma jupe reste un peu coincée, et il a dû voir mon tanga. Je la réajuste et essaie de rattraper son regard, un peu rouge par cet acte téméraire. — J’aime beaucoup les tangas. Je suis désolé, tu as de belles jambes, j’étais obligé de regarder.— Merci. Je rougis, alors que j’ai obtenu ce que j’espérais, et apprécie beaucoup sa franchise. L’alcool m’aide à me libérer, d’autant qu’avec la vexation du matin, et ma copine m’encourageant d’un clin d’œil appuyé, je n’y vais pas par quatre chemins, je continue en disant : — Et j’ai l’impression que cela t’a plu. Je regarde un peu plus bas vers son entrejambe qui montre une moyenne bosse. — Euhhhhh… oui, en effet, dit-il en appuyant ...