Une chatte sur un doigt brûlant
Datte: 06/02/2021,
Catégories:
fh,
fhhh,
hplusag,
inconnu,
Collègues / Travail
boitenuit,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
Oral
pénétratio,
fsodo,
policier,
... Mario, tu as perdu cent euros ! Je sais reconnaître les diamants bruts, et toi tu en es un, tu sais. Ses caresses se faisaient plus intenses. Il jouait avec les pompons emprisonnant ses tétons, les sentant durcir sous ses doigts. Sa main se glissait entre ses cuisses, remontant toujours plus haut. Elle sentait la température monter au creux de son ventre, comme une envie pressante d’uriner venant lui faire vibrer la chatte. Lorsque les doigts avaient fini par effleurer sa petite culotte de dentelle, elle n’avait pu retenir un mouvement de recul instinctif, tandis qu’un mince filet de liqueur chaude glissait entre ses cuisses. — Monsieur Estrada, au Mambo on n’a pas le droit de toucher aux filles, et le patron se doit de montrer l’exemple, pas vrai ? Durant une fraction de seconde, il l’avait regardée d’un air incrédule, visiblement peu habitué à ce qu’on lui dicte sa conduite. Mais il avait presque aussitôt éclaté de rire, retirant sa main par la même occasion. — Tu entends ça Mario ? Un diamant brut je te dis. Tania, je donne une petite fête demain soir. Que dirais-tu de venir nous rejoindre ?— Quelque chose à fêter de particulier ?— Tu verras bien, petite curieuse ! Soulagée, elle avait fini par quitter la table du truand, non sans que celui-ci ne lui assène un grande claque sur les fesses. En tournant la tête, elle avait aperçu le sourire du commissaire Ligier qui semblait prendre un réel plaisir à l’observer à moitié nue, agitant ses fesses et ses seins dénudés au milieu ...
... de cette brochette de demi-sels. Elle était à la fois furieuse et incroyablement excitée. Après tout, elle s’était plutôt bien débrouillée, en obtenant déjà l’occasion de pénétrer dans la tanière du serpent. En plus, elle y avait pris un plaisir intense et jusqu’ici inconnu, que ce soit en s’exhibant sur la scène ou en offrant son corps aux caresses du dangereux Silvio. Elle avait montré à son pacha qu’elle en avait autant dans le slip que ses pseudos limiers aux bidons de buveurs de bière. Autant et même plus, mais pas du même modèle. Elle n’avait pas envie de penser à ce qui allait bien pouvoir se passer le lendemain soir dans le repère de Silvio. À cet instant, elle avait juste envie de rentrer chez elle, d’avaler un grand whisky et de se faire plaisir pendant de longues minutes dans l’eau parfumée et délicieusement brûlante de son bain. Dix minutes plus tard, elle sortait du Mambo, non sans remarquer que le commissaire Ligier avait quitté le bar lui aussi. Il était près de onze heures et elle marchait d’un pas rapide vers la bouche de métro la plus proche. — Romero ? On lui avait saisi le bras pour l’entraîner dans l’obscurité d’une porte cochère. En une fraction de seconde, elle avait pivoté, poussant son agresseur contre le mur et posant sur sa gorge la lame effilée de son couteau à cran d’arrêt. — Pas très réglementaire comme arme, inspecteur Romero. Ses yeux brillaient comme des tissons tandis qu’elle fixait le commissaire Ligier avec une rage retenue. Les images de ...