1. Initiation ratée


    Datte: 06/02/2021, Catégories: hh, hplusag, hotel, Oral hsodo, init,

    Il est deux heures du matin ; je rentre à pied en direction de ma piaule au foyer des jeunes travailleurs. Piaule que je partage avec deux individus sans importance. Je viens de me faire éconduire par une fille, un râteau, en fait. Une soirée mal commencée placée sous le signe de la daube. Un repas entre amis ; je raccompagne la sœur de l’un d’eux sur laquelle j’avais des vues. Mais cet intérêt n’était qu’unidirectionnel. Je devais vite comprendre que ce n’est pas parce que j’avais discuté avec elle une partie de la nuit que ça passerait. Effectivement, me voilà mis gentiment à la porte à deux heures du matin. Bon, il me faut traverser toute la ville pour me pieuter. J’ai eu la bonne idée d’aller dîner chez mes amis à pied : pas de petites économies ; mais voilà, maintenant faut rentrer… Il fait frais ; nous sommes en octobre et, à cette heure, ce n’est pas les grandes chaleurs, bien que l’arrière-saison soit douce. Je suis habillé d’un jean pour le bas ; pour le haut, un tee-shirt et un pull, avec un blouson sur le tout, un foulard autour du cou. Pas un gros foulard, un foulard « de fille », en soie rose, un truc que m’a prêté la copine avant de me virer. Pas de honte : à cette heure, qui va le voir ? Ce n’est pas le tout de boire, aussi faut-il savoir l’évacuer. En clair, une envie de pisser me prend. Pas trop gêné par le voisinage, je me soulage dans le caniveau. Je m’ennuie et commence à trouver le temps long. Mon côté « exhibe » prend vite le dessus, et je décide de ...
    ... laisser ma queue à l’air. Aussitôt dit, aussitôt fait : me voilà à déambuler en ville avec la bite et les couilles dehors, juste la braguette déboutonnée. L’excitation augmente quand au loin passent quelques voitures. Je me tire sur la queue, mais le sang est trop dans les jambes ; cette marche à pied n’arrange pas ma bandaison. Mais qu’importe, je tire dessus autant que je peux. II est agréable de se caresser les couilles en plein-air, malaxage et masturbation en ville : hummm, quel plaisir ! J’entends une voiture arriver dans mon dos ; j’arrête mon jeu, trop inquiet de me faire surprendre. Le véhicule passe sans ralentir. Un seul conducteur ; un homme, me semble-t-il. Il ne pouvait pas voir ce qui se passait devant, vu que je lui tournais le dos. Soupir de soulagement. J’ai beau aimer me trimballer le sexe à l’air, je n’en suis pas moins conscient que la situation est quelque peu surprenante. Faudrait pas que je tombe sur une bande d’homophobes ou d’excités du bulbe ; et dieu sait qu’ils sont légion. Je continue un bout de chemin et je vois la voiture qui m’a dépassé précédemment faire le tour de la place que je longe. Il aurait dû continuer tout droit ; faire le tour signifie obligatoirement qu’il va repasser derrière moi. S’est-on aperçu de quelque chose ? J’hésite quant à la conduite à tenir. Prendre à gauche, courir ? Je n’ai pas le temps de ramasser mon barda : ça se verrait trop et le véhicule vient de ralentir. C’est certain, c’est pour moi ; il n’y a personne à deux ...
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