1. LE VOISIN 4


    Datte: 07/02/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... elle te fait envie… cette grosse queue… hein, qu’elle te fait envie ? La voix roque, presque inaudible elle me répondait - Oui… elle… doit être…bonne…sa… queue… Quelques derniers spasmes secouaient son corps, ses jambes se resserraient fortement sur mes doigts encore plongés dans sa vulve et elle revenait lentement à la réalité. - Mon amour… excuse…moi, je t’ai dit… des…horreurs… - Non ma chérie, c’est ce que tu ressens… une femme qui jouie ne peut mentir et vu comment tu as joui, je pense que cela te travaille sérieusement. - Peut être… mais je ne le ferais jamais…je t’aime trop… - Je sais que tu m’aime et moi aussi je t’aime… mais là, tu m’as vraiment excité et donné envie de te laissé faire. - Tu es fou, il ne faut pas… c’est trop risqué et puis non, je ne voudrais jamais te faire ça. - D’accord, alors n’en parlons plus, cela sera notre fantasme à tous les deux Nous reprenions nos esprits et j’ai voulu tirer les doubles rideaux pour nous redonner l’intimité dont nous avions maintenant besoin, le voisin était toujours là, en face il me fixait comme pour me cl émender encore un peu de spectacle. Maintenant il s’avait que j’étais au courant de son manège et c’est avec un peu de mépris que j’ai refermé la scène à son regard, comme pour me venger et lui montrer que c’était moi qui possédait cette beauté qu’il convoitait. Ca aussi, ca m’a excité au plus haut point, ce sentiment de possession, d’être le maître absolu de cette jolie femme tant convoitée, cet agréable sentiment de ...
    ... puissance, d’être celui qui décide, qui accepte ou qui donne selon son bon vouloir. Je sentais venir doucement le piège, n’importe quel homme sensé aurait refoulé immédiatement ce qui venait de ce passer, acceptant peut être les fantasmes de son épouse mais jamais il n’aurait voulu aller plus loin. D’ailleurs ma femme l’aurait bien compris, évidement que je n’accepterais pas de l’offrir à cet espèce de vicelard, voisin de surcroit, qui en plus possède une bitte énorme qui ne peut que me rendre jaloux de son avantageuse anatomie. Mais une autre partie de moi me demandait d’être plus pervers, idéalisant la formidable excitation que m’a procurée ma femme, jouissant en pensant à cette grosse bite qui la fait fantasmer depuis des semaines. Je sentais monter l’envie de découvrir ses fantasmes les plus inavouables, de voir jusqu’où ma femme pouvait se laissé aller aux plaisirs de la chair, de constater avec qu’elle facilité elle pouvait s’offrir à d’autres. L’excitation allait surement l’emporter sur tout le reste, sur la jalousie, sur les appréhensions et une certaine peur, oui, le piège se refermait petit à petit. Une fois les doubles rideaux fermé, je me suis retourné et j’ai enlacé ma chérie qui ruminait déjà des remords de s’être ainsi laissé aller. - Chérie… tu m’en veux ? - Jamais de la vie, mon amour, je t’aime et j’aime que tu prennes du plaisir, tu as bien vu que moi-même je n’étais pas insensible à la situation. - Oui… tu bandais dur… mais ça c’est sur le coup… comme moi… ...
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