LE VOISIN 4
Datte: 07/02/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... durcis pendant que l’autre plongeait vers sa vulve, cela devenait plus torride et elle a lâché un premier gémissement. Soudain, elle est venu prêt de la porte pour éteindre la lumière principale et a ensuite allumé sa lampe de chevet pour enfin se replacer devant la fenêtre comme si de rien n’était, cela avait atténué l’éclairage apportant une lueur plus feutré à la pièce, c’était plus romantique en quelque sorte. Là je l’ai vu appuyer son corps et poser son front contre la vitre, elle continuait à caresser ses mamelons pour les maintenir bien dur et de son autre main elle commença la prospection de sa vulve. Pendant que ses doigts coulissaient entre les muqueuses, ouvrant au fur et à mesure le passage vers l’entrée de son vagin, sa respiration de plus en plus saccadé emplissait la vitre de buée, cela annonçait la suite des festivités. Je crois qu’à ce moment là, elle ne regardait plus au travers des carreaux, elle s’abandonnait à son seul plaisir, le voyeur maintenait le fantasme de par sa présence mais il n’était plus le moteur de son plaisir. Ses doigts s’activaient de plus en plus entre ses cuisses, titillant plus sérieusement son petit bouton qui se gorgeait de sang avec la monté du plaisir, ses gémissements étaient maintenant réguliers, presque inaudibles mais rythmés sur les vas et vient de ses doigts sur le clitoris. Je la connaissais si bien, c’était dans ces moments là qu’elle ne pouvait plus rien refuser, presque au point de non retour comme on dit, c’est aussi à ...
... ce moment que j’ai pris mon courage pour entrer dans la chambre. Doucement pour ne pas lui faire peur, je me suis approché d’elle par l’arrière, ne s’apercevant de rien elle continuait de s’astiquer la chatte devant notre voisin, là juste en face. Juste derrière elle, presque contre son corps, j’ai regardé vers l’immeuble d’en face, il était bien là, lui aussi contre sa fenêtre et lui aussi s’emblait se donner du plaisir au regard des mouvements que faisait son avant bras. Ni tenant plus, j’ai posé mes mains sur les épaules de ma femme, j’ai penché ma tête pour venir lui susurrer à l’oreille : - N’ai pas peur mon amour, ce n’est que moi… A ma stupéfaction, je l’ai entendu me répondre : - Je sais… depuis le début…est que tu m’en veux ? - Non, pas du tout… mais ne t’arrête pas… tu ne vas quant même pas frustrer ton admirateur - Hum… oui… tu l’as vu ? - Bien sur mon amour, il est là juste en face dans la pénombre mais il ne se cache pas. - Ca fait longtemps qu’il m’observe ainsi, presque chaque soir… depuis des semaines Mes mains sont passées de ses épaules à ses seins que j’ai saisis fermement tout en titillant les bouts avec mes pouces. - Laisse toi allez, continue… montre lui ta beauté - Tu sais, au début je ne m’en étais pas aperçu… c’est un soir, en venant fermé les doubles rideaux après mettre dévêtu que je l’ai vu… - Et alors ? Maintenant elle appuyait son corps contre le mien et tout en me répondant entre deux soupirs elle continuait à se caresser la vulve pour maintenir ...