1. L'ombre du Passé Ch. 06


    Datte: 27/10/2017, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur,

    ... qui suçaient au sex-shop, elles prirent un rythme de croisière, satisfaisant tantôt un, mais plus souvent deux ou trois braquemarts fiévreux. Sevrés de femmes depuis un bon moment, ils se succédèrent à un rythme effréné dans leurs bouches, leurs ventres et leurs culs, aspergeant rapidement leurs muqueuses brûlantes de longs jets de foutre. Puis plus calmement une file d'amateurs d'un second tour se forma et elles eurent plus de mal pour combler leur lubricité, devant maintenant participer, se prostituant véritablement pour leur arracher leurs dernières gouttes de jus. Ali, Solange et Clothilde visitaient le grand appartement, constitué de deux grandes pièces sur l'avant séparées des trois salles sur l'arrière par un large hall. Il serait facile à transformer en lupanar tout en conservant à l'avant scène l'aspect d'un club bourgeois et hautain. Le propriétaire était même prêt à louer avec un long bail, l'occasion d'abriter un club select le comblait, restait à convaincre le vieux con qui partageait la cour de laisser libre passage. Ce fut plus facile que prévu, le vieux salaud n'avait plus, depuis bien longtemps l'occasion de s'envoyer en l'air, la promesse d'Ali de le laisser disposer à volonté de femelles consentantes lui suffit, la qualité des pou-liches proposées l'enthousiasmant même. La queue enfournée dans la tiédeur de la bouche de Clothilde il signa son accord. Ayant goûté de la chaleur, de la disponibilité de Clothilde, il voulut en-suite se vider dans la gorge de ...
    ... Solange. Obéissante elle ploya les jambes, s'agenouilla entre ses genoux, et em-boucha sa grosse verge, à peine eut-il franchit la frontière des dents de la belle rousse que, peu habitué à ce chaud traitement, il éclata en gran-des giclées entre les lèvres closes, embourbant de son foutre gluant, épais, tiède la bouche de sa zélée fellatrice. Quatre heures s'étaient écoulée, dans chaque endroit, chacun faisait les comptes : Ali signait un protocole avec le propriétaire, il s'engageait à payer en cinq traites de 10.500 euros à un mois d'intervalle entre chacune. Mohamed comptait le rapport de la journée, tandis que ses cinq gagneuses, épuisées chacune ayant épongé une douzaine de client, dont certain deux et même trois fois, le corps rompu, la bouche lasse, gluante de sperme et de sueur se reposaient. L'après-midi ramenait 4.100 euros. Dans l'arrière salle du sex-shop, Mokram ayant volontairement limité chaque pute à vingt pipes, Lulu encaissait 450 euros et eux 2.250. Les trois pipeuses avaient mal aux mâchoires, la bouche pâteuse elles avaient cajolé des queues de tout acabit, des blanches, de brunes, des noires, des grosses, des petites, des difformes, elles avaient goûtés à toute la panoplie. Loin de se sentir enrichie par cette nouvelle culture, sombres, elles pre-naient consciences de ce que serait dorénavant leur vie, elles seraient vouées aux plaisirs des hommes qui disposeraient d'elles par tous les trous, ils leur suffiraient d'y mettre le prix. Rappelant à Mokram sa ...
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