Un couple de connivence
Datte: 07/02/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Cette journée là je me baladais autour d’un lac lorsqu’une envie de pisser survient, afin de m’isoler je remonte sur la berge et entre dans un buisson où un chemin a été tracé par d’autres visiteurs hommes et aussi femmes à en juger les bouchons de kleenex qui jonchent le sol Pour ne pas être surpris je vais derrière un arbre me débraguetter tout en surveillant l’entrée, je sors mon membre et m’apprête à pisser lorsqu’une jeune femme entre dans cette clairière et, sans regarder autour d’elle, debout, les pieds écartés pour éviter les gouttes perdues, elle relève sa robe, trop tard pour me manifester et puis la vue n’est pas désagréable, surtout lorsque la petite culotte bleue glisse lentement sur ses cuisses faisant apparaitre le magnifique petit buisson noir bien taillé qui orne sa fourche, elle tire sur le string pour ne pas qu’il soit mouillé, c’est a ce moment là que son sixième sens lui révèle une présence …nos regards se croisent , elle ouvre la bouche d’étonnement et d’impuissance car un jet doré chuintant impossible à réprimer commence à gicler devant elle, pour répondre a son appel muet j’hausse les épaules en signe d’impuissance, a quoi bon s’affoler pissons ensembles ! Ses yeux baissent de quelques centimètres pour découvrir ma queue qui éclabousse abondamment le sol, un sourire et un haussement de sourcils que j’interprète comme un compliment concernant la grosseur de mon sexe, il est vrai que j’ai été gâté par dame nature, du coup mon envie s’est tarie car en ...
... grossissant ma bite bloque le canal interdisant l’évacuation de l’urine, la femme non plus ne pisse plus mais elle garde la position attendant peut-être mon départ pour terminer son besoin, au lieu de cela je tire lentement sur la peau de ma pine pour la décalotter a fond, mon gland libéré grossit encore en prenant une couleur pourpre, sa bouche s’ouvre d’étonnement, toujours face à moi, machinalement, elle passe délicatement son bouchon de papier sur sa fente afin d’essuyer les gouttes prisonnières des poils, elle passe et repasse encore et encore d’une façon sensuelle sur son entrejambe, ce n’est plus pour essorer sa chatte mais pour répondre au défi que je lui ai lancé, alors je commence des vas et vient explicites sur ma hampe, par consentement mutuel nous nous masturbons inconsciemment Soudain elle réagit et remonte sa culotte sur ses hanches étroites, puis disparait comme elle est venue, encore sous le choc je continue mes caresses sur ma bite désormais raide, je la cherche du regard prés du lac a travers le feuillage, la jeune femme a qui j’attribuerais vingt / vingt-cinq ans discute d’une façon volubile avec un homme, jeune aussi, en lui montrant notre bosquet, l’homme l’embrasse sur la bouche, se sépare d’elle pour commencer a marcher d’un pas décidé vers ‘mon’ buisson… que faire ? je ne vais pas me sauver comme un voleur ni un violeur ! Je range difficilement mon ‘matériel’ encore tendu et repatte ma braguette lorsqu’il me cherche du regard dans la clairière … - Heuuuu ...