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Fille au pair (Chapitre 1 / 6)
Datte: 07/02/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... regardait avec insistance, lorgnant sans vergogne sur mes fesses étroitement moulées dans ma jupe courte et mes jambes gainées de fins bas de voile avec des coutures. Nous étions étonnées. Sa femme travaillait aussi dans le restaurant et sa grossesse déjà bien avancée devait peut-être la conduire à se refuser à Guido. Quant à lui, cela ne semblait pas le gêner outre mesure de nous faire les yeux doux. L’une comme l’autre, nous n’étions pas là pour batifoler. Nous perfectionner dans la pratique de la langue et mettre quelque argent de côté, c’était notre but commun. C’est le lendemain soir que tout a basculé. En débarrassant une table avec un plateau, Anja a fait basculer la vaisselle sur le sol de l’office et il y a eu pas mal de casse. Au moment où nous allons quitter l’office du restaurant pour regagner nos chambres, Mme Maria nous dit sur un ton sévère : • Anja, tu vas avoir la punition que tu mérites. Il y a quatre assiettes et six verres cassés, tu vas recevoir dix coups de cravache sur les fesses. Monte dans ta chambre, attends nous avec Sidonie. L’une comme l’autre nous avions entendu parler de l’éducation anglaise mais jamais nous n’aurions envisagé que nous allions l’expérimenter. Mme Maria m’a dit d’assister à la punition d’Anja à titre d’exemple, comme cela, a-t’elle dit je ferais attention. Cinq minutes plus tard, j’étais avec Anja dans sa chambre quand Mme Maria est entrée, la mine sévère, suivie de son fils et de sa belle-fille. J’ai immédiatement compris que ...
... ces derniers allaient assister à la punition d’Anja. Mme Maria a commandé à cette dernière de se mettre à quatre pattes sur son lit et de trousser sa jupe sur ses reins : • Dégage bien ton cul, tu vas voir ce que çà fait de casser la vaisselle. Avec pas mal de réticences Anja s’installe sur son lit et remonte sa jupe sur ses reins. • Allons, pressons si tu ne veux pas que j’augmente le nombre de coups de cravache ! Dès qu’Anja est en position, Mme Maria fait siffler la cravache en cuir comme celle des cavaliers. L’extrémité est pourvue d’une large palette qui ne tarde pas à cingler les globes fessiers d’Anja qui tressaute à chaque fois… mais ne crie pas. Je suis étonnée de me sentir échauffée par ce spectacle d’une fille en train de se faire fouetter. J’ai chaud. Les tétons de mes seins se tendent dans mon soutif et une douce chaleur envahit mon bas ventre au point que je mouille le fond de ma culotte. Dès que les dix coups de cravache sont appliqués, Mme Maria et sa belle-fille quittent la chambre. Guido tarde quelque peu et je comprends pourquoi quand il sort de sa poche un tube d’onguent apaisant qu’il passe sur les traces laissées par les coups de cravache : • Comme çà tu auras moins mal ! Demain tu ne sentiras plus rien ! En appliquant le baume, il fait glisser le string et passe sa main entre les cuisses d’Anja qui ne proteste pas. Guido accentue sa caresse en introduisant deux doigts dans la chatte légèrement poilue de ma copine qui soupire d’aise : • C’est ta récompense ...