1. Sissy à bord (4)


    Datte: 08/02/2021, Catégories: Transexuels

    ... la gamelle… je sentis le sperme qui me remplissait couler en sens inverse, sortant de mon cul pour remplir la gamelle, qui était pleine de ce liquide blanchâtre… puis je me retrouvais sur les genoux au sol… ils vidèrent la gamelle dans une chope vide, qu’ils me donnèrent. Tous les marins avaient une chope de bière en main, moi celle de sperme… — A mon signal, on fait tous cul-sec ! Trois, deux, un… et glou ! Tous les marins portèrent leur chope à leur lèvres, la bière s’écoulant dans leurs gosiers… je portais la chope pleine de sperme et la vidait aussi… il y en avait beaucoup, c’était fort et j’avoue écœurant, je préférais le sperme par petite quantité… mais je la vidais, j’étais dans un état second et je voulais leur faire plaisir ! Ils posèrent tous leurs chopes vides sur les tables, tandis que je terminais de vider la mienne, le sperme me remplissant l’estomac, sous les applaudissements et les coups de sifflet des marins… puis je titubais, groggy, littéralement ivre de plaisir, et l’anus douloureux, je titubais jusqu’à ma chambre et mon lit, où je tombais dans un profond sommeil. Le lendemain, lorsque je me réveillais, le Capitaine était là. Il me regardait, et me sourit lorsque j’ouvris les yeux. Il me caressa tendrement la joue. Et me demande si je voulais rester avec eux. Nous étions occupés à accoster à Bahia. Nous devions y rester quatre jours. Et lui était là, à me demander de rester, laissant les commandes au second. Au début, lorsqu’ils m’avaient surpris comme ...
    ... passager clandestin, j’étais bien décidé à endurer cela le temps de la traversée, et une fois arrivé au Brésil, de donner corps à mon rêve. Mais j’avais tellement changé depuis. Et je m’étais aussi informé, sur le Brésil, et savais bien que jamais je n’aurais de concession pour un tenter de trouver un filon, cette époque était révolue depuis longtemps… Une partie de moi ne voulait pas abandonner le Capitaine, ses marins… et leurs sexes tendus, si bons ! J’acceptais donc la proposition du Capitaine. Durant les quatre jours sur place il me fit rencontrer son ami, le médecin, qui m’examina, et me donna d’autres produits. Ils discutèrent d’une certaine opération, qui était trop tôt pour le moment, puis parlèrent du bon vieux temps, tandis que je les suçais l’un après l’autre… Nous quittâmes Bahia, et le cargo repris son chemin. Les marins m’avaient quasiment tous rapportés un souvenir de Bahia, qui une carte, qui un livre, mais en majorité, je reçus de la lingerie fine, des jupes courtes, et même une superbe pair de chaussure, avec un long talon, faites de fines bandelettes de cuir, de la part de Will et Mike… Nous voyageâmes durant des mois, le cargo quittant Bahia et remontant vers le canal de Panama, puis escale à Hawaï et route vers le Japon… du Japon nous traversâmes l’océan Pacifique vers la Malaisie, puis Singapour. De Singapour nous traversâmes l’Océan Indien, nous arrêtant au sud de l’Inde puis au Sri Lanka. Puis nous fîmes route vers la péninsule arabique, la mer rouge, le ...