Mon copain Ahmed (1)
Datte: 08/02/2021,
Catégories:
Gay
Ahmed 1 Avertissement : L’action se passe il y a quelques décennies. Epoque où les antibiotiques suffisaient aux maladies. Je m’appelle Claude et je déteste ce prénom qui peut prêter à ambiguïté, surtout que je ne suis pas viril pour deux sous. On peut même dire que j’ai un aspect androgyne, même si je suis totalement hétérosexuel. A vingt-deux ans, mon père considère que je dois quitter le cocon familial pour me trouver une piaule. C’est un tel matraquage quotidien que ça m’agace profondément. Pour le moment, j’ai trouvé un emploi à l’essai en tant que caissier dans un supermarché assez loin de mon domicile. Si j’arrive à me faire embaucher, je pourrai envisager de me trouver un studio, mais il me faudra au moins trois bulletins de paye pour espérer une location. Je suis obligé de me rendre au travail en métro, et, aux heures de pointes, il m’est arrivé de me faire peloter les fesses par des types. Je ne comprends pas pourquoi j’attire tant les pédés. Le boulot n’est pas génial, mais il y a une fille qui me plaît bien et puis il y a quelques clients sympathiques. Un soir, alors que la fermeture approche, un magrébin qui passe à ma caisse m’interpelle : « Claude ? » « Euh oui, on se connaît ? » « Regarde moi, Ahmed, tu ne me reconnais pas ? » Je le dévisage et reconnais enfin le gars. Il a sacrément changé depuis la dernière fois que je l’ai vu. Nous étions copains au collège, mais nos routes ont divergées. Moi, j’avais pris une filière littéraire et lui une technique. Comme ...
... derrière lui, la file d’attente commence à protester, nous nous donnons rendez-vous un quart d’heure plus tard, après la fermeture du magasin. Je le rejoins au bar alors qu’il sirote un demi de bière, il n’est pas pratiquant de sa religion ! Nous discutons un moment à évoquer nos bêtises communes, puis des sujets actuels, comme mon besoin de me trouver un logement. Il me propose alors de passer quelques minutes chez lui pour qu’il me montre son appartement. Il habite dans un immeuble à deux pas de là. Son habitation comporte deux chambres, un séjour, une salle de bain. Bref, c’est très correct pour un célibataire. Je regarde ma montre et constate qu’il n’est pas si tard que ça. Aussi, j’accepte qu’il m’offre un verre. Ca me fait bien plaisir de discuter avec lui. Il est désormais magasinier dans l’automobile, mais je comprends à demi-mot qu’il a des activités parallèles. Il me propose tout de go : « Ca ne te plairait pas de partager le loyer avec moi, le temps que tu te trouves quelque chose ? » « Euh, je sais pas, il faut que j’y réfléchisse … » Je le quitte sur ces mots et m’engage dans la station de métro. Quand j’entre dans la rame, elle est bondée, plus que d’habitude. Je suis debout en me tenant à la barre quand le type qui était à coté, se place derrière moi en se tenant à la même barre. Quand la rame démarre, il se colle contre mon dos et glisse sa main sur ma cuisse. Je tente de le repousser, mais il m’écrase encore plus. Je n’ose rien dire vu le gabarit du mec. Je ...