1. Mis à contribution (suite)


    Datte: 27/10/2017, Catégories: hh, hgode, hsoso, fh, 69,

    ... s’asseoir sur le lit. — Montrez-moi ça, dit-il en soulevant la blouse. Le sexe enveloppé de latex pend misérablement. Cela fait sourire Pierre. Nous sommes tous pareils après, nous les hommes !pense-t-il. Il jette la capote usagée et essuie la verge poisseuse. — Vous… vous pouvez continuer, suggère Gaston quand il s’écarte, ça fait du bien.— Je n’en doute pas, mais d’autres pensionnaires attendent mes bons offices. Ai-je été à la hauteur de votre attente ?— C’est à vous de me dire si ma prestation vous a satisfait monsieur Pierre. Pour moi, c’était parfait. J’espère vous revoir bientôt.— N’y comptez pas trop, je ne suis ici qu’occasionnellement. Enfin, on ne sait jamais. Je vous souhaite un bon après-midi. Gaston n’a pas bougé, assis sur le lit, les bras ballants quand il referme la porte de la chambre. Il s’appuie contre le chambranle, les jambes flageolantes. Il vient de se faire enculer encore une fois, son anus sensible est là pour en témoigner ! Et ce n’est pas fini, un autre patient l’attend. Aura-t-il la force de le supporter ? Il hésite… — Et si je disais à Roméo que je ne veux plus ? Tout à coup l’envie de se faire pénétrer à nouveau l’enveloppe. — Non, je ne peux pas lui faire ça, il compte sur moi, se justifie-t-il en se dirigeant vers le bureau des soignants. L’infirmier de garde l’expédie d’un air rogue vers une autre chambre. Sûrement un gréviste qui n’accepte pas que quelqu’un d’autre fasse son travail, se dit Pierre.Il doit me prendre pour un briseur de grève ...
    ... à la solde de la direction ! Son deuxième patient est moins membré que le précédent, à moins que son cul soit plus perméable. L’introduction se fait sans peine. Ce nouveau partenaire l’a installé à quatre pattes sur le lit. Pierre espérait qu’il en profiterait pour le caresser, mais il est déçu. Son client ne s’occupe que de son propre plaisir et éjacule sans que Pierre, inquiet pour leur équilibre, ait pu de se masturber. Roméo l’accueille à son retour dans la salle des infirmiers. — Pas trop dur beau… euh… Monsieur Pierre ?— Non, ça va.— Prêt pour un nouveau patient ?— Il y en a beaucoup comme ça ?— Encore un, mais si vous êtes fatigué, on en restera là.— Un seul ? Je crois que je pourrais le supporter.— Je vous remercie, vous ne vous imaginez pas à quel point j’apprécie votre aide.— Je vous en prie… Où se cache-t-il votre olibrius ?.. oooOOOooo Pierre sort de la salle de bain attenante à leur chambre. Il termine d’enfiler un peignoir lorsque Juliette entre, jette sa blouse dans un coin et s’affale nue dans un fauteuil. — Ah ! T’es là ? s’écrie-t-elle en voyant son mari.— Oui, depuis peu, juste le temps de prendre une douche. On dirait que tu es fatiguée.— Pfou ! Je suis vidée !— Ça se voit ! C’est la première fois que tu te promènes nue dans notre chambre.— Passe-moi un peignoir s’il te plaît.— Oh ! Ça ne me gêne pas… Au contraire, ajoute-t-il en s’approchant de sa femme et déposant un baiser au creux du cou.— Veux-tu être raisonnable… Oh ! Le coquin ! On dirait que tu as ...