Voyage en Corse (1)
Datte: 08/02/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... la salle de bain et dus attendre un bon moment pour faire redescendre la pression. Plus jamais nous n’avons parlé de ce moment intime. Arrivés à Porto Vecchio, nous prenons possession du bungalow. Celui-ci est constitué de trois chambres : la première avec un lit superposé pouvant accueillir deux personnes, une seconde avec un lit double, et une troisième avec un lit simple. Elza demande si elle pouvait prendre la troisième chambre. Elle doit dormir avec une pompe l’aidant à respirer la nuit afin d’éviter une apnée du sommeil. Cette pompe fait un peu de bruit et elle ne veut déranger personne. Tout le monde acquiesce et c’est naturellement qu’Annick et Laurent investissent la chambre avec le lit double, et pour mon plus grand bonheur, Sylvie et moi prenons possession de la première chambre. Sylvie réagit : — Je te préviens, je dors en bas ! J’espère que tu ne ronfles pas ! — Ca tombe bien, je préfère dormir en haut. Et non, je ne ronfle pas. Chacun installe ses affaires. Le reste la journée sera assez calme. Nous allons nous coucher de bonne heure, le voyage nous ayant fatigués. Sylvie porte un ensemble pyjama pour dormir : un short et un T-shirt assortis. Je me réveille, la lumière du jour emplit la chambre. Je baisse ma tête pour voir si ma cousine dort toujours. Mon regard croise le sien, son visage est affiche un beau sourire. — Salut cousin, bien dormi ? — Très bien, et toi ? — Comme un bébé. Je suis contente que l’on partage cette chambre toi et moi ! — Moi aussi ! ...
... Pourquoi a-t-elle dit cela ? Se souvient-elle de notre petit moment dans la salle de bain ? Est-elle aussi attirée par moi ? Nous discutons de choses et d’autres pendant un petit moment, décide ensuite de se lever. Elle fait pivoter son bassin avec ses jambes tendues et dressées vers moi. De mon point de vue, je ne perds pas une miette du spectacle : Sylvie ne porte pas de sous-vêtement sous son short qui est assez ample, laissant paraître son pubis de par sa position. Cela ne dure qu’un instant, et Sylvie referme vite ses jambes, se lève, sa tête arrivant à la hauteur de la mienne. — Dis-moi Adrien, tu as une copine en ce moment ? — Non, c’est le néant en ce moment ? Et toi, tes conquêtes ? — Oh, tu sais, je n’attire pas les garçons. Je ne fais rien pour non plus : je ne m’habille pas sexy, je ne porte pas de talons. Pourtant j’aimerais bien... J’ai connu un ou l’autre garçon, mais je les ai envoyés promener. Tout ce qui les intéressait était le sexe. — Je comprends. Mais rassure-toi chère cousine, tu es belle à craquer. Si je n’étais pas ton cousin, je t’aurais déjà fait la cour ! Nous rigolons tous les deux. J’étais pourtant sérieux. Mon désir pour Sylvie est de plus en plus fort. L’après-midi, alors que nous jouons dans la mer un peu fraîche à cette saison, Sylvie me semble étrangement proche : en essayant de me couler, elle effleure monentrejambe à plusieurs reprises. Je ne suis pas en reste. Ce jeu me permet de toucher sa peau autant que possible, tout en restant discret. ...