1. L'embouteillage 3


    Datte: 08/02/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... C'est trop bon ! Et toi, pauvre idiot, tu vas vivre sous ma domination jusqu'à ce que je me lasse de toi ! Tu fera mon bonheur mais moi, je ne ferais pas le tien ! Même si tu quitte ta femme pour moi, j'irais voir ailleurs. Je baiserais avec qui je veux et toi tu sera réduit à être mon pot de chambre ! Ha ha ha ! On est arrivé prés de la sortie d'autoroute. Ça circulait pas trop mal en ville. Je lui ai donné l'ordre de s'arrêter devant un guichet automatique. Il est resté dans la voiture. J'ai testé sa carte et je me suis retrouvée avec quelques billets de plus dans la poche. C'était vraiment une super sensation que de prendre conscience que je pouvais me servir à volonté. Je suis remontée dans la voiture et je lui ai rendu sa carte sans lui dire combien j'avais retiré. Il n'a pas posé la question et j'ai apprécié même si je sentais qu'il était super tendu à l'idée que je pouvais lui taper un gros paquet de fric. Mais, comme je lui avait dit, je ne comptait pas le dépouiller, plutôt le ponctionner régulièrement. On est arrivé dans ma rue. Il y avait beaucoup de neige mais je lui ai ordonné de me ramener jusque devant chez moi. Le quartier était calme, pas un chat dans les rues. Une fois devant ma porte. J'ai dit : _ Et la porte ? Elle va s'ouvrir toute seule ? _ Ah ! Euh ! Pardon ! Il est sorti précipitamment pour m'ouvrir la portière. Voyant toute la neige dans laquelle je devais marcher avec mes converses, j'ai dit : _ Si tu était bien élevé, tu poserais ta veste par terre ...
    ... pour m'éviter de marcher dans la neige ! Il a ouvert la porte arrière, saisi sa veste et l'a étalé sur le sol à mes pieds pendant que je récupérait ses clopes pour les faire disparaître dans mon sac à main. En sortant, j'ai piétiné sa veste en le toisant et j'ai dit : _ Désormais quand tu viendra me chercher et que tu me ramènera, tu m'ouvrira la portière ! Puis voyant les quelques pas qu'il me restait à faire pour aller dans l'entrée j'ai dit : _ Je ne veux pas me mouiller les pieds ! Porte-moi ! Il a voulu me saisir par la taille mais je l'ai repoussé : _ Sur ton dos ! Imbécile ! Il s'est retourné et penché en avant. _Plus bas ! Encore ! Il s'est penché davantage et a fléchit les genoux attendant mon bon vouloir. Il avait l'air tellement ridicule que je n'ai pas résisté à l'envie de lui balancer un coup de pied au cul en éclatant de rire. Il s'est étalé dans la neige. Il n'a pas pu s'empêcher de protester. Son amour propre avait encore pris un sacré coup mais entre mes jambes c'était bien agréable. Il c'est relevé et m'a dévisagé, en serrant les dents. J'ai dit : _ Qu'est-ce que t'as ? T'est pas content ? Et je lui ai mis une gifle. Il a encaissé sans broncher mais toujours avec l'air énervé. Je l'ai engueulé : _ T'en veut encore ? Pauvre merde ! Tu as envie de m'en coller une j'imagine. Qu'est-ce qui te retiens ? Tu crois que t'en est capable ? Bien sûr que non ! Au fond tu sais que tu la mérite ! Pauvre con va ! Tiens ! Et je lui ai balancé une nouvelle paire de gifle. Il ...