1. Fondements


    Datte: 08/02/2021, Catégories: fh, hplusag, hagé, poilu(e)s, complexe, vacances, campagne, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral 69, pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, init, mélo, nostalgie,

    ... fiché en moi encore quelques instants, au cours desquels j’ai senti que son vit se rétractait. Très doucement il s’est dégagé et s’est couché à mon côté, pendant que je me dépliais et me tournais vers lui. Je ne sais comme nous nous sommes arrangés, mais nous nous sommes serrés mutuellement dans nos bras et simplement regardés dans le fond des yeux. Je sentais mon fondement qui s’humidifiait et le foutre de Xavier qui lentement s’en écoulait sur mes cuisses, et j’en étais profondément remuée. Après cette joute bestiale, où nous avions tous deux voulu aller au bout de nos sensations, nous partagions cet instant de tendresse indicible dont l’émotion nous tenaillait au-delà de tout ce que nous pouvions imaginer. – Je t’aime… C’est la seule chose que j’ai trouvé d’intelligent à lui dire. – Ma toute belle, qu’il m’a répondu, ce que tu m’as donné… je ne l’avais jamais vécu auparavant… Et nous sommes restés comme ça, à nous regarder, et de temps à autre, on échangeait de petits baisers légers dont on ne se lassait pas, et qui prolongeaient ce moment d’intense plénitude. Nous nous sommes rapidement douchés ensemble, puis nous nous sommes recouchés le restant de l’après-midi, passant ce temps à nous assoupir, puis, nous réveillant, à nous caresser et à nous embrasser encore et encore. Ce dont j’aurais rêvé, alors, c’est de continuer, de poursuivre cette promiscuité, de vraiment dormir ensemble, de passer une nuit, de baiser à nouveau au cœur du silence, de nous réveiller et ...
    ... peut-être de prendre notre premier repas du matin ensemble. Tout cela était impossible, en particulier parce que les gens du village n’auraient pas compris que nous nous affichions comme des amants alors que près de quarante ans de différence d’âge nous séparaient. Avant que mes vacances ne se terminent, et que je reprenne l’école où je devais commencer mes études d’infirmière, nous nous sommes à nouveau aimés et nous avons à nouveau baisé. Souvent, c’est Xavier qui me couvrait, ou alors, je prenais l’initiative de le chevaucher, en guidant notre plaisir assise sur son vit. Désormais, j’anticipais la joie de le sentir me limer, la tension de mes nymphes, la réaction de la perle de mon clitoris, celui que j’appelais « mon sacristain », parce qu’il sonnait les cloches de la messe païenne de nos orgasmes. Xavier n’omettait jamais d’accompagner ses chevauchées de manipulations ciblées qui nous faisaient parvenir ensemble à l’orgasme. Nos bouches et nos langues connaissaient le moindre détail de nos intimités respectives, et nous avions inauguré le 69, où chacun tentait d’attiser la jouissance de l’autre en résistant à sa propre montée du plaisir. C’est moi qui me mettais au-dessus, et je prenais un plaisir sans nom à déposer fermement ma boîte à plaisir sur son nez et sur sa bouche, pendant que je dégustais la douceur et la rigidité de son chibre. Quelquefois, lorsque nous commencions nos agaceries, il était encore mollasson, et je m’émerveillais toujours de le sentir se gonfler dans ma ...
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