Fondements
Datte: 08/02/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
hagé,
poilu(e)s,
complexe,
vacances,
campagne,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
init,
mélo,
nostalgie,
... serait pas bien grave… – Tu accepterais que je… – Que tu jouisses dans ma bouche ? C’était pas si mauvais ce que j’ai pu goûter l’autre jour… C’était même tout toi… C’était bon… La liqueur de mon petit chéri ! – Tu accepterais vraiment ? Je ne lui ai même pas répondu, et je me suis glissée vers sa bite. J’ai fait traîner les seins sur son ventre, jusqu’à ce qu’ils se retrouvent à enserrer sa queue. Je voyais le gland qui surgissait dans mon sillon. Alors j’ai pris mes nichons entre mes mains, et doucement je les ai pressés autour de son braquemart. Xavier s’est tendu et a fait glisser sa queue vers le haut… Cela m’a fait rire, et j’ai attrapé le bout tout rouge entre mes lèvres. Rien que ça, mon Xavier commençait à soupirer ferme ! Encore une petite reptation, et j’admirai le cierge tendu devant mon nez, exhalant son odeur sauvage. Il fallait que je me surpasse. Il fallait que cela soit grandiose, que mon chéri soit heureux ! Je me suis dit que le mieux était d’y aller à l’instinct, en recherchant ce qui pourrait être le plus jouissif. J’ai commencé à lécher. Posément. J’arrivais au sommet, juste sous la pointe, et lentement, en laissant traîner ma langue baveuse, je repartais vers ses couilles. Puis je remontais dans le même mouvement. Enduisant le sceptre d’une couche scintillante de salive. Je m’arrêtais parfois pour en faire le tour. J’appuyais le menton jusqu’à ce que la queue s’inclinât, je sortais la langue et laissais couler un filet de bave que j’étalais ...
... consciencieusement, inclinant la tête entre le ventre et l’organe, m’élevant jusqu’à la saillie du gland que je flattais subrepticement au passage. Puis je me suis abaissée jusqu’aux bourses, là où les senteurs musquées se font plus pénétrantes. Je lui ai fait comme un suçon. En tenant son chibre redressé, j’ai gobé une à une les rondeurs en tendant la peau tendre comme avec une ventouse. Je sentais sous la langue rouler ses olives, pendant que mon Xavier perdait peu à peu toute retenue et se concentrait sur les bontés que je lui prodiguais en fermant les yeux. Alors je suis revenue à l’essentiel. J’ai conservé ses couilles dans ma paume, en les faisant doucement rouler tout en les pressant entre mes doigts, pendant que je reprenais mes léchouilleries. Lorsque son manche échappait à ma langue, il s’appuyait contre ma joue en se calant à l’angle de mon nez, et glissait ainsi lubrifié tout le long de ma face dans un soubresaut du bassin de mon chéri accompagné d’une respiration retenue et comme contrainte. Il me fallait maintenant goûter le produit de mes agaceries et procurer à mon chéri une extase dont il garderait le souvenir. J’avais ma petite idée sur le sujet. Je me suis hissée au sommet, surplombant le gland dont sourdait à présent une grosse goutte de liquide à la consistance huileuse dont je me suis bien vite emparée d’un air gourmand. Alors je l’ai gobé, sucé, aspiré, et j’ai décidé de me l’enfoncer du plus que je pourrais au fond de la bouche. Doucement, puis en accélérant ...