Fondements
Datte: 08/02/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
hagé,
poilu(e)s,
complexe,
vacances,
campagne,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
init,
mélo,
nostalgie,
... liquide et lentement déglutir ce breuvage providentiel. Lorsque Xavier a pu voir que j’avais tout avalé, il m’a prise sous les aisselles, a attiré ma bouche vers la sienne, et a partagé avec moi le goût que j’avais conservé de sa jouissance. – Tu es une insupportable coquine ! me dit-il avec un sourire grave et tendre. Une insupportable coquine qui aime avaler « le foutre »… a-t-il ajouté. J’ai retenu le mot que je n’avais jamais entendu prononcer avec ce sens si particulier. Nous sommes descendus tous les deux dans l’état de nature où nous nous trouvions déguster à la cuisine une bonne citronnade qui a mis fin à nos - ou plutôt à ses - effusions. J’étais définitivement encore plus fière de moi lorsque je suis revenue le soir dans ma chambre. Non seulement j’étais femme, non seulement je savais faire jouir mon homme, et en plus j’avais réussi à le faire avec ma bouche ! Mais cela n’était pour moi qu’une sorte de « solution de secours » que j’avais utilisée faute de pouvoir lui en donner davantage. Rien ne me paraissait donner plus de plaisir que de lui donner mon plus intime, lui permettre de s’enfoncer en moi, que nous nous fondions ensemble pour jouir ensemble. Pour l’instant, et pour quelques jours encore, il fallait attendre. Je ne me lassais pas de voir et parler avec Xavier. Même si nous étions contraints à cette attente, je me rendais chaque jour à la Soulane, rien que pour être à son contact, échanger des touts et des riens avec lui. J’ai profité d’un jour où je ...
... n’avais pas la mère ou le frérot sur le dos, comme ils devaient aller à Châteauneuf faire quelques achats, pour déjeuner avec Xavier. À chaque instant, je lui prenais la main, je me frottais à lui, je lui picorais un bisou dans le cou alors que je tournais et virais autour de lui pour lui mettre son couvert ou encore lui servir le plat que je lui avais préparé. Il observait toutes ces manifestations avec un sourire tendre et amusé. Ce jour-là, après le café, il s’est levé, s’est saisi d’un papier dans le tiroir du buffet de la salle à manger et l’a posé devant moi. Il s’agissait du résultat d’analyses qu’il avait faites la veille et qui montraient que tout était clair. Quel chou ! On pourrait maintenant se livrer à toutes les débauches sans arrière-pensées ! Enfin le flux s’est arrêté ! Je me suis empressée de prendre ma pilule et d’échafauder des plans pour la suite. Une question me préoccupait. À chaque fois qu’il avait pris son pied, j’avais accentué la jouissance de Xavier en le sodomisant. Visiblement, l’excitation de cette partie de son individu accroissait ses sensations, et je le voyais alors quasiment défaillir, en demander encore davantage et sombrer dans une sorte de nirvana sensuel dont il ressortait dans une hébétude bienheureuse. Je n’ai compris que bien plus tard que le bienfait des caresses que je lui prodiguais venait du massage que j’effectuais sur sa prostate. Ne le sachant pas au moment où je me suis posé la question, je me suis demandé si, moi aussi, je ...