1. D'aspirant à salope (2)


    Datte: 10/02/2021, Catégories: Transexuels

    ... nuit. Je dois me lever tôt demain pour être à mes responsabilités à 7h du matin. Je me réveille en sursaut, il est 5 heures du matin. Je me suis endormi d’un coup. Je sens ma bite coincée et je me rappelle que je porte un string. Je me lève et vais à la douche en me regardant dans le miroir, je bande aussitôt en me voyant comme cela. Je me masturbe doucement sous la douche à travers le string et je jouis dedans. Ouah quelle sensation de fou ! Je m’assois dans la douche tellement l’orgasme a été violent. Je suis hors du temps, hors de ma vie, hors de mon corps... Je ne sais plus qui je suis. Je retire le string pour le nettoyer et je le mets à sécher sur le porte-serviette. Je mets ma tenue de sortie "terre de France" en fait gris clair (je ne sais pas qui a trouvé ce non). Je fais mon nœud de cravate. Mes chaussures brillent, je peux sortir. Je rejoins mon unité avec dans un coin de ma tête ce code que je n’ai toujours pas trouvé. Je salue mon Capitaine et je donne les ordres pour la journée. Les nouvelles recrues commencent à arriver vers 8h et on commence le chemin d’incorporation. Visite médicale Coiffeur Dotation du ...
    ... paquetage Formation des sections fgrfttny Tout se passe comme prévu et je suis assez fier de moi. Je reçois les félicitations de mon supérieur, même l’adjudant me confirme la bonne organisation de la journée. C’est la fin de journée, je suis dans mon bureau et regarde par la fenêtre les sections qui partent vers le réfectoire quand je sens une présence dans mon dos. Il se colle à côté de moi, c’est le capitaine. Il pose sa main sur ma hanche sous la vareuse. Il met sa bouche à côté de mon oreille et me chuchote. — J’ai vu que tu as pris tous mes cadeaux. J’espère qu’ils te plaisent. — Mais pourquoi faite vous cela mon capitaine. Je ne suis pas ce que vous croyez. — Si tu es exactement ce que je veux, mais tu ne le sais pas encore. Un jour tu seras à moi et c’est toi qui le décideras et qui viendra à moi. Sa main me caresse la hanche et se déplace et effleure mes fesses. Je me redis même si la sensation est plus qu’agréable. — Non jamais, vous prenez vos désirs pour des réalités mon capitaine. — Pas du tout, sinon tu m’aurais déjà rendu la boite ma belle. Passe une bonne nuit. Et il disparaît de mon bureau, me laissant seul et désemparé. 
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