1. Marie, l’étudiante coquine


    Datte: 11/02/2021, Catégories: Première fois

    ... dansent un peu avec les deux amies de Marie, moi je discute avec cette dernière. Au début on parle de la fac, puis petit à petit de tout et de rien. Je sens qu’elle minaude un peu, elle se rapproche de plus en plus. Je me concentre pour la regarder dans les yeux et surtout ne pas dériver sur son décolleté. Elle a des seins de taille moyenne (entre 85b et 85c je dirais) mais très bien mis en valeur par son haut. Je sens qu’elle me drague un peu, cela me flatte beaucoup mais pour moi à cet instant il est hors de question qu’il se passe quoique ce soit. Non seulement car j’ai une copine, je nel’ai jamais trompée et je n’ai pas envie de commencer, mais en plus parce que ce ne serait pas éthique de fricoter avec l’une de mes étudiantes. Malgré cela, je la laisse me draguer, sûrement parce que ça flatte mon ego et que je trouve ça un peu excitant d’aller à la limite de l’interdit en ayant cependant prévu de ne pas franchir cette limite. On continue de discuter de choses banales, ses jambes touchent les miennes je n’avais même pas remarqué qu’elle s’était autant rapprochée. Je me rend compte que cela commence à m’exciter, des pensées me traversent l’esprit si j’avais été célibataire et pas son prof, on aurait fini chez elle, elle à 4 pattes son cul bien bandant tourné vers moi... Je me met à bander, merde il va falloir que je calme les choses. C’est à ce moment là qu’elle place discrètement sa main sur ma cuisse, tout en continuant de parler et de me regarder dans les yeux l’air de ...
    ... rien. Sa main est à quelques centimètres de mon sexe tout gonflé et emprisonné dans mon pantalon. Il faut surtout pas qu’elle se rende compte que ça m’excite ! Je bouge un peu la jambe pour enlever subtilement sa main, puis de manière anodine je mentionne le fait que je suis en couple. Je vois dans ses yeux qu’elle a compris ma manœuvre mais cela n’a pas l’air de vraiment la décontenancer. Quelques minutes plus tard, elle me parle de Paris. Elle vient d’une petite ville de Bretagne puis est venue à Paris pour sa licence et l’an prochain elle voudrait faire son Master dans le sud. Puis elle me dit, « Ce que j’aime à Paris, c’est la liberté. Dans ma petite ville natale, si une meuf veut rien de sérieux elle est tout de suite étiquetée salope et la rumeur se répand très vite. Ici à Paris les gens sont plus ouverts d’esprit. Tu peux vouloir simplement t’amuser, et tout le monde s’en fout. De toute façon c’est tellement grand que les gens que tu croises à une soirée tu ne les recroiseras sûrement pas. L’an prochain je ne serai plus à Paris, donc je ne veux pas d’attaches, je m’amuse et c’est la ville parfaite pour ça !». Ma formation de psychologue m’a appris à encaisser les paroles sans jamais paraître surpris. J’encaisse donc, mais mon esprit bouillonne ! Les filles de psycho sont généralement libérées sexuellement, donc rien d’etonnant en soi. Mais bordel, j’avais vraiment tout faux sur cette fille ! Moi qui la voyais un peu catho coincée, en fait c’est tout le contraire ! Et ...