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Une journée bien ennuyeuse...
Datte: 12/02/2021, Catégories: f, fh, hagé, bizarre, fsoumise, hdomine, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, jeu, sm, fsoumisah, jeux, internet,
... vais ramasser votre peignoir ! Et je me retourne et me baisse la première, lui bloquant le passage. Et précipitation et panique font que je sens mes fesses se cogner contre lui. Et je n’arrive vraiment pas à ramasser cette saleté de peignoir. J’ai mes fesses contre lui, collées à sa jambe, ou sa cuisse peut-être. Tétanisée la salope exhibitionniste… Et je n’ose même pas penser à un autre endroit de sa personne, toujours baissée et il me prend le bras en me disant de me relever. — Avancez allez… J’obéis et il ramasse le peignoir. Pendant la traversée du couloir je sais qu’il me regarde. Et je m’affale enfin dans mon canapé. Pour l’entendre me dire : — Vous savez que vous m’inquiétez là ! Levez-vous et enfiler votre peignoir ! Je me lève et m’habille… Les joues pivoine et les larmes aux yeux. Sur le point de pleurer. — Et maintenant asseyez-vous et expliquez-moi ce qui vous arrive. Que je sache si je dois appeler SOS médecins, le SAMU ou un psy. Il me sourit mais je vois de l’inquiétude dans ses yeux. Mon divorce qui se passe mal, une amie dans le même cas, des insomnies, des somnifères et des antidépresseurs depuis quelques jours… Et là je m’étais endormie et j’ai entendu frapper… Mais qu’il ne s’inquiète surtout pas tout va rentrer dans l’ordre. Il m’a écoutée avec attention et ne m’a pas coupé la parole. Et dans l’état où je me trouve j’ai été très convaincante. Il se lève et dit qu’il va me laisser mais qu’au moindre souci je monte le prévenir. Il ajoute qu’il est seul ...
... depuis une quinzaine de jours et que lui aussi divorce. Qu’il est étonné que mon mari me cherche des ennuis. Je sais qu’ils s’apprécient et se tutoient et qu’ils ont bu quelques verres chez lui ou chez moi de temps en temps. Il dit qu’il va me laisser me reposer tranquillement et se retourne pour partir. Nous n’avons ou plutôt j’ai parlé quelques minutes et ça m’a semblé des heures. Dans l’entrée du couloir il se tourne vers moi et me sourit encore. — J’ai vu Patrick sortir de chez vous avant-hier. Il m’a fait comprendre que… Il m’a dit que vous comme lui ne pouviez pas vous empêcher de dormir ensemble de temps en temps. Il a dit « dormir »… Sourire. Ma femme aussi prend des somnifères, et des cachets roses… Elle n’entendrait pas un tremblement de terre alors frapper à la porte, la pauvre ne décollerait pas de son oreiller… Et vos somnifères vous collent des rêves plutôt sympathiques… Pour ce que j’en ai vu… Mes pantalons peuvent en témoigner eux aussi. Vous m’expliquerez plus tard… Ou pas ! Il me quitte avec un dernier petit sourire… J’ai eu le temps de voir qu’une partie de la cuisse droite de ses pantalons gris était plus foncée. Encore aujourd’hui je ne sais pas pourquoi je l’ai fait. Pourquoi j’ai ouvert cette porte à cet homme. Avec la copine c’était si simple que je n’ai pas hésité une seconde. Mais là… Pourquoi être submergée de honte et ouvrir ? Pourquoi risquer de passer pour une salope, une allumeuse devant un voisin sympa et qui me plaisait bien ? Pourquoi risquer les ...