Eric (4)
Datte: 12/02/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
— Je pense qu’on est mal pris, dit Georges, elles ont raison, mais, bon c’est une expérience à faire dans la vie. — Alors tu es partant pour qu’on se suce la bite et qu’on boive le foutre de l’autre ? — Te sucer, je viens de le faire, j’en suis pas mort à ma connaissance et j’espère que ton venin n’est pas mortel, mais à voir comme se porte Yvette, je suppose que c’est bien supportable. — Sur ces arguments, je m’incline. Georges que cette situation a plutôt émoustillé présente une érection tout à fait convenable qui surprend un peu Yvette qui a connu des situations où il était moins flamboyant, par contre, Éric se présente avec le pavillon bas, piquant pas du nez, mais de la bite vers le sol. Georges, pas dégoutté, attrape cette moins que demi molle entre ses mains et entreprend de lui rendre un aspect présentable, mais cela reste passablement mou, alors aux grands maux, les grands remèdes, il commence à palucher l’oignon de son fils en vue de le faire réagir. — Papa ! On a bien dit sucer et pas enculer ! — Avec tes dispositions, il faut bien que je trouve le moyen de te faire réagir et durcir un peu ton poireau qui a l’air d’une carotte blette. Du reste, il me semble que ton petit cul a l’air de ne pas réfuter mon massage, on pourrait dire qu’il appelle plutôt plus d’engagement dit George en enfonçant son majeur dans le fondement de son fiston. Il commence à lui masser gentiment la prostate et là miracle, ça marche, c’est comme la musique on part d’un mi mol pour arriver à ...
... un la dur, mais dur de chez dur. Du coup, George se tait et enfourne cette mentule qui a repris un aspect plus conforme à ses espérances. Il promène sa langue en dégustant le pré-sperme en apéritif. Il ne pourlèche pas seulement le mat qu’il a en bouche, mais aussi ses babine. — Jésus-Marie s’écrie Éric, Je n’ai jamais eu une telle sensation, vraiment père, tu es le roi de la turlute Hutu. Mais chapon point eut Dégageant la pine baveuse de son fils de sa bouche, Georges demande : — À la sortie, tu veux également un patin à la sauce pruneaux — Oui, c’est égale, mais je t’en prie, continue, c’est trop bon. Et voila George qui tenant fermement ce mandrin, continue sa turlute hutu, tout en barattant férocement le fion du petit (qui est plus grand que lui) Ceci a un effet dévastateur et une inondation de crème de pruneau lui submerge les amygdales. La bouche bien pleine, Gorges s’approche des lèvres de son fiston et lui pousse le produit de ses couilles entre les dents avec une langue agile. — Tiens goutte un peu cette délicieuse marchandise et quand tu auras bien avalé, tu constateras que ma pine a bon goût. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, Éric se mis à palucher la pine paternelle, puis à se caresser les amygdales, mais il semblait que George n’était pas presser de conclure en lâchant sa crème. — Tu pourrais un peu te grouiller un peu, je commence à avoir une tendinite à la mâchoire ! — Pourquoi tu n’utilises pas la même technique que moi, dit son père d’un air un peu ...