Quand la chair s'éveille (8)
Datte: 12/02/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... orgasme validé, les deux se plongent dans un sommeil réparateur avant d’émerger aux premières heures de la journée. Ramon qui était réveillé le premier, prend la direction des opérations et propose en complément d’instruction, de conjuguer le chiffre 6 avec le chiffre 9 et lui présente son organe à déguster alors qu’il avance une langue indiscrète vers cette moule, mise en service tout récemment. – Attends un peu, j’ai la vessie pleine, je ne sais si c’est tout ce que tu m’as mis hier, mais il faut que je la vide, sinon tu risques d’avoir une surprise. – Moi aussi, il faut que je vidange, après on reprendra la discussion, j’ai hâte de bouffer ton petit minou avec un arôme supplémentaire. – Cochon ! – Parce que tu crois que tu vas y échapper, il faut aussi y goûter pour voir si dans le futur, si ton mari te le propose, tu vas l’accepter ou pas. Moi, je m’imagine que je vais de toutes façons me régaler. Mais il y a une chose que je ne sais pas encore, tu préfères que je te recrépisse les ovaires ou le palais ? odlobbez – J’aimerai bien les deux, mais je ne sais si c’est ...
... possible. Mais en priorité mon palais, pour les ovaires, j’aimerai autant que ce soit mon futur mari qui me mette en cloque. – Comme tu veux, je ne tiens pas absolument à suivre la tradition qui veut que le premier né soit issu des couilles du suzerain. – Merci, tu es plein de délicatesses, lance-t-elle en aspirant et en léchant cet objet qui lui a tant apporté pendant la nuit. Tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se casse, dit le proverbe qui à la situation présente, tant va la langue sur le vit qu’à la fin il décharge. La bouche remplie de sperme qu’elle a quelque peine à tout avaler, Hortentia, entre deux déglutitions remarque : – Il faudra que je me lave les dents avant de retourner à la maison, même s’il y a un petit déjeuné solide. Nota de l’auteur: On peut avoir un doute quant à l’existence du droit de cuissage tel que décrit, mais même dans nos structures modernes, cela existe bel et bien, cela a d’autres épithètes : Promotion canapé, harcèlement sexuel. Certes, on ne peut affirmer qu’il ne fut jamais écrit en noir sur blanc, mais le droit coutumier ne l’est pas non plus.