1. Comment ma mère a " sauvé " ma partie de poker ! (7)


    Datte: 13/02/2021, Catégories: Lesbienne

    ... regardant en direction du gros porc). On m’a dit de ne rien vous révéler... — (S’adressant au metteur en scène) John c’est quoi, cette histoire ? Le scénario a été changé ? On ne m’a rien dit ? — Tu ne sauras rien ma chérie, l’intrigue du film veut que tu sois complètement prise par surprise quand tu enlèveras le pardessus de Coralie. Ça vient d’en haut, c’est Kevin qui a donné les instructions. Il est très excité par son idée. Mais tu ne le regretteras pas, tu peux me faire confiance... — (Se retournant vers Coralie). Et bien ma jolie Coralie, avec une petite jeune femme mignonne comme toi, je suis sûre que ce ne sera que du plaisir... — Je l’espère aussi madame. — Appelle-moi Caroline, vu que dans 10 minutes nous allons être excessivement « intimes » ! ilmiaafh — J’ai aussi quelque chose à vous avouer... je ne viens pas que pour vous découvrir vous, et vous faire l’amour... — (Intriguée). Et bien vas-y ma petite Coralie, explique-moi. — Et bien voilà, je viens de la part d’Antonin... — Ce petit con ! Mon petit con de fils ? — Oui Caroline, nous sortons ensemble et je crois que je suis amoureuse de lui. Vous savez il m’a tout expliqué. Il regrette énormément son manque de tact à votre égard, il vous demande de lui pardonner et de lui permettre d’au moins vous revoir. Vous savez il a beaucoup changé, il a muri. (Disant cela Coralie prenait son petit air mutin irrésistible, et Caroline en fut troublée.) — Bon tu as tellement un ravissant sourire que nous verrons ce que nous ...
    ... pourrons faire après la scène... si tu me fais vraiment du bien... (Caroline lui lança une œillade très égrillarde.) — En parlant de vous faire du bien... un plan à trois avec votre fils, ça vous branche ? (cette fois-ci le regard pervers de Coralie percuta Caroline.) — Un plan à trois, moi, toi et... mon fils ?? Mais tu es vraiment une sale petite perverse ! On te donnerait le Bon Dieu sans confession pourtant ! — Et on aurait tort ! Vous ne pouvez pas vous imaginer à quel point ! » Je me rapprochai de Caroline toujours assise devant son miroir et sa table de maquillage, lui plaçai une main sur un sein. Puis j’entrepris de m’insinuer sous le déshabillé de ta mère, lui trouvais le mamelon que je commençais à faire rouler entre mes doigts. Ta mère commença à souffler et gémir. Alors de mon autre main, je lui tournai le menton vers mon visage et lui roulai un palot de derrière les fagots. Ta mère n’en revenait pas ; c’était la première fois qu’elle embrassait une femme, et à voir elle y prenait goût. Alors de mon autre main, je lui défis le lien de son déshabillé, elle ne portait rien en dessous. J’entrouvris les pans du léger vêtement, et ma main alla directement entre ses cuisses, que ta mère écarta ostensiblement pour s’offrir à mes caresses. Je lui glissai alors à l’oreille d’un ton très langoureux : « Tu nous vois tous les trois à poil dans un lit. Moi en train de t’enculer avec mon gode-ceinture pendant que tu suceras ton fils ? Hummm une vision qui me hante depuis que j’ai ...