Valérie 11 - La pute de chantier
Datte: 14/02/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Gay
Transexuels
... bureau et contemple son œuvre… le sperme dégouline au coin de ma boche, mon mascara à coulé…Je me relève et m’approche de lui, avec douceur je l’embrasse doucement, lèche ses lèvres. Comment mon tortionnaire si viril peut-il devenir si fragile… et moi pauvre gourde qu’est-ce que je fais. Je m’installe à califourchon sur ses cuisses, mon ventre nu encore tendu vient frotter contre son pubis. Je colle mon visage encore maculé de sperme contre le sien et murmure…- Oh mon chériiii… C’était trop bon…- Oh mon dieu… tu as vu ce que je t’ai fais… C’est monstrueux, c’est à chaque fois la même chose, je ne me contrôle plus… un jour…- Ne t’en fais pas… j’ai eu peur mais tu n’as pas été trop loin… c’était… C’était follement divin…- Pour moi aussi c’était tellement fou… mais je me fais peur.- Ca va aller… Ne t’inquiète pas je ne dirai rien…- mais tu en as encore envie… Il vient de réaliser que mon membre est dur et tendu à l’extrême contre son sexe, son sexe qui lui aussi commence à donner des signes de réveil.Pour lui prouver que je ne suis pas rancunière, je l’embrasse à pleine bouche, ma langue s’insinue entre ses lèvres et s’enroule autour de la sienne. Je frotte mon ventre contre sa queue (je suis vraiment une chienne).- Caresse-moi ! Mets ta main. Il obéit et me masturbe doucement…- Oh je voudrais… Te…J’ai deviné, un homo refoulé qui n’ose pas s’avouer son goût des hommes…- Viens… Viens mon chou.Je change de position et m’appuie fesses contre le bureau, sexe fièrement érigé. Je le ...
... guide en appuyant sur ses épaules. Il prend ma verge dans sa bouche, lèche et suce avec maladresse et gourmandise. Dans l’état dans lequel je suis il ne faut que quelques minutes avant que le plaisir ne monte. C’est à son tour d’être aspergé de foutre. Il se relève avec cette fois un beau sourire.Entre 2 baisers je lui murmure un merci.- Oh non, c’est moi qui te remercie. Tu n’es pas une vieille pute, mais une femme magnifique et merveilleuse.Je me rhabille comme je peux, ma jupe est tachée, mes bas déchirés et bien sur je n’ai plus de petite culotte. J’essaye d’arranger mon visage dans un miroir au dessus d’un lavabo, oh le salop ! il m’a quand même bien arrangé, entre les trainées de foutre, le maquillage de pute qui a coulé et la paire de gifle il y a du travail.Il me propose gentiment un café (je n’avais pas vu la machine) et en fumant une cigarette nous discutons un peu.En fin de compte il est plutôt gentil, paumé… Il m’avoue aimer le sexe à outrance et en particulier la sodomie mais que sa femme refuse (je la comprends… avec son calibre il lui faudrait un sacré entrainement), il aime les hommes aussi mais en a honte et bien sur les travestis qu’il humilie mais en réalité qu’il envie. Je lui propose de garder le contact et que je pourrai peut-être l’aider. Mon offre est totalement intéressé, je suis follement amoureuse de son gros chibre… On se quitte bons amis en se promettant de garder contact. Un dernier baiser, une dernière caresse (si j’avais une culotte elle serait ...