Le fantôme
Datte: 14/02/2021,
Catégories:
fh,
bizarre,
campagne,
fsoumise,
hdomine,
vengeance,
contrainte,
Oral
attache,
baillon,
policier,
sorcelleri,
amourdura,
fsoumisah,
... de la jeune fermière sous forme fantomatique. Elle avait suivi la scène d’abus avec délectation, tout son vieux corps ressentant à la fois l’affolement de Claire mais aussi le plaisir que le jeune sexe découvrait sous les premiers assauts du comte. Le trouble pervers envahissant que la vieille femme avait ressenti, la résistance de Claire, tout cela faisait refluer en Marthe une énergie puissante, maléfique, qui réactivait ses pouvoirs premiers. Elle se nourrissait à une source indirecte de magie, comme une sorte de parasite. À la fin de l’agression de la jeune fille, elle comprit qu’elle disposait à nouveau de certains pouvoirs qu’elle pensait disparus. Et sa première pensée fut de sortir de sa prison pour rejoindre au plus vite son filleul en sorcellerie. Elle voulait plus que cette visualisation. Elle voulait assister en personne à l’accouplement de son élève avec la fille de son ennemie. Et elle voulait aussi à cette occasion renforcer l’emprise du sorcier sur Claire, de sorte que la jeune fille soit totalement soumise et offerte à lui et qu’elle-même, Marthe, fût par conséquent unie sexuellement à son élève par le corps de cette victime de choix. Marthe en tremblait d’avance de délice. Enfin le grand moment arrivait. Tout ce qu’elle avait attendu durant des années allait se produire. Son amour pour Olivier allait se concrétiser, la petite Claire porterait l’enfant qu’elle-même ne pouvait donner à son filleul, leur pouvoir occulte maléfique et définitif règnerait sur ...
... Saint-Amant, sa victoire serait totale. Pauvert avait beau l’avoir confinée dans une pièce sans fenêtre, il n’avait fait que tourner la clé dans la serrure pour l’enfermer. Elle se pencha pour écouter attentivement et n’entendant aucun bruit, aucun signe d’une quelconque présence humaine à proximité, elle décida de faire tomber la clé avec une épingle à chignon sur un morceau de tissu, puis de l’attirer à elle, dans le mince espace qui séparait la porte du plancher. Ce qu’elle fit. Une fois la clé entre ses doigts noueux, elle l’introduisit dans la serrure, entrouvrit la porte pour voir si le couloir était gardé. Mais constatant que la voie était libre, elle prit un morceau de drap blanc, sa canne et se glissa bientôt au-dehors, par une ruelle déserte. Elle se hâtait, prenant les passages les plus étroits. La tête et les épaules couvertes, elle espérait ne rencontrer personne. Il fallait qu’elle sorte au plus vite du village. Déterminée, comme portée par l’urgence et l’énergie qu’elle avait puisée dans l’agression de Claire, Marthe avançait rapidement et sans encombre. Elle allait traverser la rue principale, lorsqu’elle croisa deux enfants qui se poursuivaient en bordure de la route qui menait à l’ancienne mine. Les deux bambins, intrigués par l’apparition, la dévisagèrent, la reconnurent mais prirent peur en voyant la vieille femme agiter sa canne d’un air menaçant. Ils s’enfuirent en hurlant, appelant leurs mères. Marthe, angoissée à l’idée qu’ils donnent l’alerte, décida de ...