11 - Voir, et... être vu !
Datte: 14/02/2021,
Catégories:
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Oral
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Résumé de l’épisode précédent : Au cours d’une journée pique-nique à la montagne avec mes deux amants, nous avons profité de l’isolement pour batifoler en plein air. Bien que très performants, mes mâles ne parviennent pas toujours à me faire oublier certains événements du passé. ___________________________________________________ C’est seul que je barbote dans l’eau glacée ; eux se sont rincés et l’ont trouvée bien trop fraîche pour y rester, se contentant de me dire que ça raffermit les chairs, et qu’ainsi peut-être allais-je ressortir de là avec un cul tout vierge ! La question est : combien de temps durera cette pseudo-virginité ? Bon, depuis hier soir, mes deux amants m’ont sauté dans tous les sens à tour de rôle. Là, il est 17 heures, il y a peu de chance pour que j’en reprenne un coup avant que nous soyons rentrés chez nous. « Et si tel était le cas, m’en plaindrais-je ? » me dis-je à moi-même. Je suis toujours partant, consommant le vit par les deux bouts, cherchant à combler chaque instant de solitude par un sexe gros de préférence plutôt que d’être la proie de mes démons. Et encore, depuis un mois que je fréquente Patrick, je fais dans l’exclusif et ne vais pas chercher ailleurs. « Depuis combien de temps n’as-tu plus couché avec une femme, au fait ? » pensai-je tout haut. « Depuis… un an. Oui, depuis ce fameux jour », me répondis-je avant de me laisser couler sous l’eau du torrent. Le froid enveloppe mon crâne d’une main de fer. Vidant mes poumons de leur air, je ...
... m’assieds sur les dalles tout au fond, et regarde les arbres se découper sur le bleu du ciel à travers l’eau cristalline. « Où es-tu ? » criai-je dans ma tête, les yeux perdus dans le bleu du ciel.« Fais-moi un signe ! Aide-moi ! » Je pousse sur les pieds pour remonter à la surface, puis me place sous la chute d’eau un moment avant d’aller les retrouver. Ils pliaient la couverture, ça ne peut pas leur prendre bien longtemps. — En ben, quel courage ! lance Patrick en me voyant complètement trempé. Tu n’es pas gelé ? On n’a même pas de serviette.— Même pas mal ! répondis-je. Cinq minutes au soleil et je serai sec. Quelqu’un a vu mes cigarettes ? Franck m’en apporte une et en parfait gentleman me présente la flamme, je n’ai qu’a aspirer la première bouffée. Ils sont déjà habillés, les affaires sont rangées, ils sont parfaits, mes mecs. Et pas qu’au lit apparemment. Mon jean renfilé, nous démarrons. J’ai retrouvé ma place à l’arrière, la conversation s’enchaîne aussi bien que les kilomètres, tant est si bien que nous arrivons en ville sans avoir vu le temps passé. Pat nous propose un verre, disant qu’il n’a pas envie que l’on se quitte « comme des sauvages » à peine rentrés. Affalés dans le canapé une bière à la main, Franck nous répète avoir passé une nuit et une journée extraordinaire, et que si nous étions d’accord, ce serait avec plaisir qu’il se joindrait à nous. — Je ne dirais pas « si », mais plutôt « quand » ! ironisai-je. Je n’imaginais pas vivre quelque chose d’aussi ...