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Correspondance érotique
Datte: 27/10/2017, Catégories: Lesbienne
... fougue. Je ne me lassais pas de ton odeur. Tu me pris la tête, rugissant comme à chaque fois que je m’attaquais à ta chatte. Ta fontaine ne semblait pas vouloir tarir. Je suçais, léchais, buvais de tout mon saoul. Je glissais un doigt, puis deux en toi, la pointe de ma langue agaçant ton petit clitoris qui sortait du replis de ses chairs. Une fois un des deux doigt bien lubrifié, je le glissais dans ton petit œillet bleu. Je te sodomisais de mon doigt tout en continuant à te dévorer le pistil. Tu eus ton orgasme m’offrant encore plus à boire pour mon plus grand bonheur. Je remontais afin de t’offrir ta divine liqueur dans ma bouche. Notre baiser fut long et doux. On descendit pour le repas ce soir là. Je ne pris pas d’apéritif, préférant garder un peu plus longtemps ton odeur dans ma bouche. Aucun apéritif n’était aussi bon que ta douce liqueur. Tu me remercias plus tard à grand coup de langues. *-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*- Je suis sortie de ma douche et tout en m'essuyant je suis passée devant la chambre. Tu n’étais plus dans le lit. Je me rendis alors dans la cuisine. Tu était là, debout, me tournant le dos, vêtue uniquement de ton mignon petit string bleu. Tu te ...
... préparais une tartine de confiture. J’admirais ton superbe corps avant de venir m’y coller. -Tu sais que les voisins peuvent te voir. » -Ha bon! » dis tu ingénue. Tu frotta tes fesses sur mon bas ventre. -Tu es toute mouillée! » dis tu. -Comment le sais tu? » Je lâchais la serviette pour te caresser les seins, le ventre et le mont de vénus. Je t’embrassais tendrement dans le cou. Je t’entendis soupirer. Tu me fis face et on s’embrassa. J’aime le goût de ta bouche. La pointe de tes seins était dure comme un caillou. Je les pinçais provocant un long cri de douleur mélangé à du plaisir. Je t’appuyais contre la table et m’agenouillais à tes pieds. -Romane! Je t’en pris, tu vas me mettre en retard! » Je ne te répondis pas massant tes lèvres à travers ton string en dentelle. Tu écartas les jambes afin de me faciliter la tâche. -Tu me rends folle! » dis tu. Je pris ton string et le fis descendre le long de tes jambes. Tu écartas de toi même les pétales de ta fleur déjà bien humide. J’y posais ma bouche. Je pris mon petit déjeuné dans un divin calice. Même après notre nuit agitée, ta source ne s’était pas tarie. Tu arriva effectivement en retard, ce jour là, mais sans ton string en dentelle bleu.