Les mémoires de Jonathan (5)
Datte: 15/02/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... avait personne aux alentours. Marie s’exclame que l’endroit est magnifique. Elle décrète même que nous devrions essayer le nudisme. Décidément, l’endroit où nous nous trouvons l’inspire grandement. Je la vois débuter un lent effeuillage, désirant jouer les séductrices à mon encontre. Ce qu’elle est belle, ma petite femme chérie. Elle retire un à un les boutons de son chemisier fleuri majoritairement jaune et orange, m’offrant de doux baisers volatiles et de petits clins d’œil de temps à autre. Je les cueille telle une rose printanière, un baume vivifiant. Son chemisier par terre, non sans l’avoir méticuleusement pliée au préalable, c’est au tour du bouton de son jean ultra court à rendre les armes. Elle me regarde en l’abaissant, le tout, en tortillant quelque peu son bassin. La vision qui m’est offerte ne peut être décrite par des mots. Marie, ma belle Suédoise aux cheveux d’ébènes, revêtue de sous-vêtements aguichant couleur de l’amour. Son soutien-gorge rose et sa petite culotte en dentelle rouge pomme rehaussent son teint hâlé. Ce qu’elle m’émoustille sans le savoir. Après tout, c’est son but recherché de toute évidence. Je continue à admirer le spectacle qui m’est offert lorsqu’elle me sort de ma rêverie. — Dis ? Tu m’écoutes ? — Oh, désolé. J’étais perdu dans mes pensées. — Je vois ça ! dit-elle, en fixant du regard le bas de mon pantalon. Je suis son regard et je remarque l’allusion de sa dernière réplique. J’ai une érection et celle-ci est apparente. Je ne peux ...
... que lui sourire en guise d’affirmation. Lentement, ma Marie s’avance, d’une démarche féline et s’arrête devant moi. Nous entamons un baiser délicieux, langoureux, celui dont seuls les amoureux détiennent le secret. Passion et techniques sont au rendez-vous. J’ai l’impression que notre baiser dure des heures et je ne peux m’arrêter, car j’ai le sentiment que si j’interromps ce moment intime, il s’envolera telle l’hirondelle quand survient le printemps. Nos bouches se dessoudent, un mince filet de salive relit nos lèvres, la seule preuve de notre union linguale torride. Je regarde ma femme. Je vois dans ses yeux les éclats du bonheur, ses yeux pétillants illuminent tels des phares. On dit que l’amour donne des ailes, que lorsque nous tombons amoureux, nous n’y voyons plus clair. Hé bien c’est complètement faux, on y voit comme en plein jour, ses yeux me guideraient vers elle, même dans l’obscurité la plus totale. Je passe ma main dans les cheveux de ma compagne, lui caressant le côté de la joue au passage. Elle attrape ma main et offre de délicieux baisers au dos de celle-ci. Ce simple moment, qui peut paraître banal pour beaucoup, est en réalité très spécial pour nous. C’est dans les petits moments de la vie que l’on peut réellement apprécier toute la plénitude de l’amour. J’enlace ma petite femme chérie, je l’embrasse dans le cou, descendant sur ses menues épaules au goût de pêche, résultat de son gel de douche. Elle rigole de mon entreprise. — Dis donc, tu ne restes plus ...